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longe abest a vero

  • 1 longe

    longē, adv. [st1]1 [-] en long, en longueur; loin, au loin.    - vim suam longe lateque diffidunt, Cic. Div. 1, 79: (les dieux) répandent en long et en large leur puissance.    - omnibus longe lateque aedificiis incensis, Caes. BG. 4: après avoir incendié toutes les maisons sur une vaste étendue.    - longe gradi, Virg. En. 10, 572: faire de grands pas.    - longe abesse, Cic. Fam. 2, 7, 1: être éloigné.    - longe procedere, Cic. Verr. 2, 65: s'avancer loin.    - quam longe videmus? Cic. Ac. 2, 80: à quelle distance porte notre vue?    - domi aut non longe a domo esse, Cic. Phil. 12, 23: être chez soi ou non loin de chez soi.    - locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum sedecim, Caes. BG. 7, 16, 1: il choisit un emplacement pour son camp à une distance de seize mille pas d'Avaricum.    - tria milia passuum longe a castris considere, Caes. BG. 5, 47, 5: prendre position à trois mille pas du camp.    - non longe ex eo loco abesse, Caes. BG. 5, 21, 2: n'être pas fort éloigné de ce lieu.    - longe gentium abesse, Cic. Att. 6, 3, 1: être à l'autre bout du monde.    - non longe a Syracusis, Cic.: non loin de Syracuse.    - longe esse alicui, Virg. (longe esse ab aliquo, Caes.): n'être d'aucun secours à qqn.    - compar. sans infl. sur la constr., c. amplius: non longius milia passuum octo abesse, Caes. BG. 5, 53, 7: n'être pas à plus de huit mille pas de distance. [st1]2 [-] au fig. longuement ; loin, au loin.    - aliquid longius dicere, Cic. Or. 162, exposer qqch plus longuement.    - labi longius, Cic. Leg. 1, 52: se laisser aller trop loin de son sujet.    - verbum longius ductum, Cic. Br. 274: mot tiré de trop loin, recherché.    - longe aliquid repetere, Cic. Leg. 1, 28: aller chercher qqch bien loin en arrière.    - longe prospicere casus futuros rei publicae, Cic. Lael. 40: voir au loin dans l'avenir les dangers qui menacent la république.    - quoad longissime potest mens mea respicere, Cic. Arch. 1: aussi loin que mon esprit peut revoir en arrière.    - alicujus vitam longius producere, Cic. Br. 60: faire vivre qqn plus longtemps, lui attribuer une vie plus longue.    - longius anno, Caes. BG. 4, 1, 7: plus d'un an.    - longius triduo, Caes. BG. 7, 9, 2: plus de trois jours.    - paullo longius, Caes. BG. 7, 71, 4: un peu plus longtemps. [st1]3 [-] grandement, beaucoup.    - mais avec des adj., adv. ou verbes marquant éloignement, différence, préférence: longe abhorrere, dissentire, praestare, excellere, antecellere, anteponere, longe alius, dissimilis, aliter, secus, etc.    - a vulgo longe longeque remoti, Hor. S. 1, 6, 18: écartés loin, loin de la foule.    - longe aliter est, Cic. Amer. 138: il en est tout autrement.    - ea res longe aliter ac ratus erat evenit, Sall. J. 7: l'issue fut tout autre qu'il n'avait pensé. [st1]4 [-] devant les superl.: de beaucoup, sans contredit.    - longe plurimum ingenio valere, Cic. Br. 55: avoir une très haute supériorité intellectuelle.    - longe eloquentissimus, Cic. Caec. 53: de beaucoup le plus éloquent.    - longe omnium princeps, Cic. Or. 62: de beaucoup le premier de tous.    - longe longeque plurimum tribuere honestati, Cic. Fin. 2, 68: faire la part de beaucoup la plus large à l'honnête.    - longe nobilissimus fuit et ditissimus, Caes. BG. 1, 2: de beaucoup le plus noble et le plus riche.    - devant les compar.: longe melior, Virg. En. 9, 556: bien supérieur.    - cf. Sall. H. 3, 48, 9 ; Liv. 24, 28, 5 ; Curt. 10, 3, 10; Tac. An. 4, 40; Quint. 10, 1, 7, etc.
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    longē, adv. [st1]1 [-] en long, en longueur; loin, au loin.    - vim suam longe lateque diffidunt, Cic. Div. 1, 79: (les dieux) répandent en long et en large leur puissance.    - omnibus longe lateque aedificiis incensis, Caes. BG. 4: après avoir incendié toutes les maisons sur une vaste étendue.    - longe gradi, Virg. En. 10, 572: faire de grands pas.    - longe abesse, Cic. Fam. 2, 7, 1: être éloigné.    - longe procedere, Cic. Verr. 2, 65: s'avancer loin.    - quam longe videmus? Cic. Ac. 2, 80: à quelle distance porte notre vue?    - domi aut non longe a domo esse, Cic. Phil. 12, 23: être chez soi ou non loin de chez soi.    - locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum sedecim, Caes. BG. 7, 16, 1: il choisit un emplacement pour son camp à une distance de seize mille pas d'Avaricum.    - tria milia passuum longe a castris considere, Caes. BG. 5, 47, 5: prendre position à trois mille pas du camp.    - non longe ex eo loco abesse, Caes. BG. 5, 21, 2: n'être pas fort éloigné de ce lieu.    - longe gentium abesse, Cic. Att. 6, 3, 1: être à l'autre bout du monde.    - non longe a Syracusis, Cic.: non loin de Syracuse.    - longe esse alicui, Virg. (longe esse ab aliquo, Caes.): n'être d'aucun secours à qqn.    - compar. sans infl. sur la constr., c. amplius: non longius milia passuum octo abesse, Caes. BG. 5, 53, 7: n'être pas à plus de huit mille pas de distance. [st1]2 [-] au fig. longuement ; loin, au loin.    - aliquid longius dicere, Cic. Or. 162, exposer qqch plus longuement.    - labi longius, Cic. Leg. 1, 52: se laisser aller trop loin de son sujet.    - verbum longius ductum, Cic. Br. 274: mot tiré de trop loin, recherché.    - longe aliquid repetere, Cic. Leg. 1, 28: aller chercher qqch bien loin en arrière.    - longe prospicere casus futuros rei publicae, Cic. Lael. 40: voir au loin dans l'avenir les dangers qui menacent la république.    - quoad longissime potest mens mea respicere, Cic. Arch. 1: aussi loin que mon esprit peut revoir en arrière.    - alicujus vitam longius producere, Cic. Br. 60: faire vivre qqn plus longtemps, lui attribuer une vie plus longue.    - longius anno, Caes. BG. 4, 1, 7: plus d'un an.    - longius triduo, Caes. BG. 7, 9, 2: plus de trois jours.    - paullo longius, Caes. BG. 7, 71, 4: un peu plus longtemps. [st1]3 [-] grandement, beaucoup.    - mais avec des adj., adv. ou verbes marquant éloignement, différence, préférence: longe abhorrere, dissentire, praestare, excellere, antecellere, anteponere, longe alius, dissimilis, aliter, secus, etc.    - a vulgo longe longeque remoti, Hor. S. 1, 6, 18: écartés loin, loin de la foule.    - longe aliter est, Cic. Amer. 138: il en est tout autrement.    - ea res longe aliter ac ratus erat evenit, Sall. J. 7: l'issue fut tout autre qu'il n'avait pensé. [st1]4 [-] devant les superl.: de beaucoup, sans contredit.    - longe plurimum ingenio valere, Cic. Br. 55: avoir une très haute supériorité intellectuelle.    - longe eloquentissimus, Cic. Caec. 53: de beaucoup le plus éloquent.    - longe omnium princeps, Cic. Or. 62: de beaucoup le premier de tous.    - longe longeque plurimum tribuere honestati, Cic. Fin. 2, 68: faire la part de beaucoup la plus large à l'honnête.    - longe nobilissimus fuit et ditissimus, Caes. BG. 1, 2: de beaucoup le plus noble et le plus riche.    - devant les compar.: longe melior, Virg. En. 9, 556: bien supérieur.    - cf. Sall. H. 3, 48, 9 ; Liv. 24, 28, 5 ; Curt. 10, 3, 10; Tac. An. 4, 40; Quint. 10, 1, 7, etc.
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        Longe, Aduerbium. Loing.
    \
        Non longe ab aedibus. Cic. Il n'est pas fort loing de la maison.
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        Longe iam abieram. Terent. J'estoye ja allé assez loing.
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        Ne longe abeam per translationem. Cic. Sans que j'aille plus loing pour trouver exemple. Vide ABEO.
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        Longe hinc abest, vnde vectae Sumus. Plaut. Il y a loing d'ici d'où, etc.
    \
        Longe gentium abest. Cic. Il est fort loing.
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        Longe a me abest. Plaut. Il est loing de moy.
    \
        Ista stimulum longe habet. Plaut. Dont elle atteint de bien loing.
    \
        Illic longe vsque in campis vltimis habitat. Plaut. Il demeure là loing és champs.
    \
        Longe prospicere futuros casus. Cic. Preveoir de loing.
    \
        Longe est mihi. Martial. Il est loing de moy.
    \
        Pedibus longe melior Lycus. Virg. Il va beaucoup mieulx du pied.
    \
        Longe audacissimum habuimus. Cic. Beaucoup plus temeraire.
    \
        Longe, longeque plurimum tribuere honestati. Cic. Beaucoup, Beaucoup plus.
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        Longe caeteris artibus antecedit illud studium. Cic. Il est beaucoup plus excellent.
    \
        Longe aliter, atque a me dicta erant, detulerunt. Cic. Bien autrement.
    \
        Res aliter longe euenit. Liu. Est bien advenue autrement.
    \
        Longe ante videre. Cic. Preveoir de loing.
    \
        Longe secus est. Cic. Il va bien autrement.
    \
        Orationem longe aliam praebes nunc, atque olim quum dabam. Plaut. Tu parles bien autrement que, etc.
    \
        Longe princeps. Cic. Le plus excellent, ou plus grand.
    \
        Longe principes habentur Hedui. Caesar. Sont les plus estimez et honorez.
    \
        Longe primus ciuitatis est Epicrates. Cic. Il est le plus estimé de la cité, et le plus excellent.
    \
        Haec ciuitas longe plurimum totius Galliae equitatu valet. Caesar. Beaucoup plus sans comparaison.
    \
        Longe plurimos captiuos ante currum duxit. Liu. Bien fort grand nombre.
    \
        Longe anteire. Plaut. Passer de beaucoup.
    \
        Cuius ego iudicium longe antepono tuo. Cic. J'estime beaucoup plus son jugement que le tien.
    \
        - errat longe, Qui imperium credat grauius esse aut stabilius, Vi quod fit, quam illud quod amicitia adiungitur. Terent. Il erre grandement, Il s'abuse beaucoup.
    \
        Longe remotus ab ambitione. Plin. iunior. Qui est bien loing d'ambition.
    \
        Longius, Comparatiuum, Plus loing. Plautus, Auecta est, peregre hinc habitatum longius. Assez loing.
    \
        Non aberit longius. Terent. Il ne demeurera plus gueres qu'il ne vienne.
    \
        Non cogitas hinc longius abesse? Terent. Ne penses tu pas qu'il y a loing d'ici?
    \
        Longius abire. Terent. S'esloigner.
    \
        Longius currere. Cic. Bien avant.
    \
        Longius in amicitia prouecti. Cic. Lesquels il y a ja long temps qu'ils s'entr'aiment.
    \
        Longissime, Superlatiuus. Liu. Tresloing.
    \
        Longissime abest a vero. Cic. Il est tresloing de la verité.
    \
        Quid longissime meministi? Plaut. Dequoy te souvient il du plus loing?
    \
        - quam dudum in portum huc venis? P. Longissime. Plaut. Il y a fort long temps.

    Dictionarium latinogallicum > longe

  • 2 longe

    longē, Adv. (longus), lang, in die Länge, I) im Raume: A) langhin, weithin, fernhin, weit, fern, 1) eig.: longe gradi, große Schritte machen, Verg.: longe abesse, Cic.: so auch longe esse, weit (entfernt) sein, Ov.: longe videre, Cic.: so auch longius videre, Cic.: longe abire, Ter.: longius discedere, Cic.: longius sequi, Tac.: longe a Tiberi, Cic.: oppidum est non longe a Syracusis, Cic.: longius ab urbe (quam) mille passuum, Liv.: locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum XVI, in einer Entfernung von usw., Caes.: longe a suis inter hostium cadavera repertus est, Sall.: non longe ex eo loco, Caes.: quam longe est hinc in saltum vestrum Gallicanum? Cic. – longe lateque, s. lātē. – m. Genet., abes longe gentium, bist weit entfernt in der Welt, Cic.: aber longe parentum, fern von den Eltern, Apul. – 2) bildl.: a) übh., weit, ne longius abeam, um die Beispiele nicht weiter herzuholen, Cic.: res nos longius trahit ab incepto, Sall. – longissime abesse a vero, Cic., ab humanitate, Caes.: quod abest longissime, davon bin ich weit entfernt, das ist gar nicht meine Absicht, Cic.: non longe esse a veritate, Lact., ab hac vanitate, Lact.: ab eloquentia longissime esse, der B. ganz fern stehen, Quint. – ab alqo longe abesse, jmdm. nichts helfen, Caes.: u. so alci longe esse, Verg. u.a. – errat longe mea quidem sententia, irrt weithin = irrt sehr, Ter. – par studiis sed robore longe, weit entfernt, nachstehend, Stat. – b) bei Begriffen der Verschiedenheit, weit, longe a nostris rebus iuncta divûm natura, Lucr.: a volgo longe longeque remoti, Hor.: l. dissimilis contentio, Cic.: l. diversus, l. dispar, Cic.: l. alius, Cic.: l. aliter se habet ac etc., Cic.: quod l. secus est, Cic.: l. dissentire, Cic. – longe interest, s. inter-suma. E. – bei Comparativen u. Superlativen u. bei allen Begriffen des Vorzugs, weit, bei weitem, l. melior, Verg.: l. tumultuosior, Vell.: l. clarior, Quint.: l. magis prosper, Vell.: l. magis probari, Quint.: eam l. minoris ac levioris momenti esse consultationem, Liv. – longe ante alias specie insignis, Liv. – l. gratissimus, Varro At. fr.: l. nobilissimus, Caes.: l. maximus, Cic.: l. primus civitatis, Cic.: bene l. princeps, Cic.: plurimum et longe longeque plurimum tribuere voluptati, Cic. – l. praestare, antecellere, Cic.: l. anteponere alci rei, Cic. – B) weit = von weitem (s. Haupt opusc. 2, 455), agnoscere regem, Verg.: gemitum morientis, Ov.: videre, Ov.: accurrere, Ter.: longeque (= longe quoque), schon von weitem, Val. Flacc. – im Bilde, di immortales, quam tu longe iuris principia repetis, Cic. de legg. 1, 28: tam longe repetita principia, so weit hergeholte, Cic. ep. 13, 29, 2. – Spätlat. a longe u. de longe, s. Rönsch Itala p. 231. Muncker Hyg. fab. 257. p. 311. – II) übtr., von der Zeit, weit, lange, u. zwar von der fortlaufenden, von der Gegenwart in die Zukunft ausgedehnten Zeit, longe ante videre, Cic.: longe subsequi, lange danach, Quint.: longius debere, länger schuldig bleiben, Nep.: video caculam militarem me futurum haud longius, in nicht gar langer Zeit, nächstens, Plaut.: non nimium longe (später) in scaena florere, Gell. – haec dixi brevius... longius autem etc., weitläufiger, Cic. – si quid modo longius circumduxerunt, übermäßig lange herumgezogen haben, Quint.

    lateinisch-deutsches > longe

  • 3 longe

    longē, Adv. (longus), lang, in die Länge, I) im Raume: A) langhin, weithin, fernhin, weit, fern, 1) eig.: longe gradi, große Schritte machen, Verg.: longe abesse, Cic.: so auch longe esse, weit (entfernt) sein, Ov.: longe videre, Cic.: so auch longius videre, Cic.: longe abire, Ter.: longius discedere, Cic.: longius sequi, Tac.: longe a Tiberi, Cic.: oppidum est non longe a Syracusis, Cic.: longius ab urbe (quam) mille passuum, Liv.: locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum XVI, in einer Entfernung von usw., Caes.: longe a suis inter hostium cadavera repertus est, Sall.: non longe ex eo loco, Caes.: quam longe est hinc in saltum vestrum Gallicanum? Cic. – longe lateque, s. late. – m. Genet., abes longe gentium, bist weit entfernt in der Welt, Cic.: aber longe parentum, fern von den Eltern, Apul. – 2) bildl.: a) übh., weit, ne longius abeam, um die Beispiele nicht weiter herzuholen, Cic.: res nos longius trahit ab incepto, Sall. – longissime abesse a vero, Cic., ab humanitate, Caes.: quod abest longissime, davon bin ich weit entfernt, das ist gar nicht meine Absicht, Cic.: non longe esse a veritate, Lact., ab hac vanitate, Lact.: ab eloquentia longissime esse, der B. ganz fern stehen, Quint. – ab alqo longe abesse, jmdm. nichts helfen, Caes.: u. so alci longe esse, Verg. u.a. – errat longe mea quidem sententia, irrt weithin = irrt sehr,
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    Ter. – par studiis sed robore longe, weit entfernt, nachstehend, Stat. – b) bei Begriffen der Verschiedenheit, weit, longe a nostris rebus iuncta divûm natura, Lucr.: a volgo longe longeque remoti, Hor.: l. dissimilis contentio, Cic.: l. diversus, l. dispar, Cic.: l. alius, Cic.: l. aliter se habet ac etc., Cic.: quod l. secus est, Cic.: l. dissentire, Cic. – longe interest, s. intersum a. E. – bei Comparativen u. Superlativen u. bei allen Begriffen des Vorzugs, weit, bei weitem, l. melior, Verg.: l. tumultuosior, Vell.: l. clarior, Quint.: l. magis prosper, Vell.: l. magis probari, Quint.: eam l. minoris ac levioris momenti esse consultationem, Liv. – longe ante alias specie insignis, Liv. – l. gratissimus, Varro At. fr.: l. nobilissimus, Caes.: l. maximus, Cic.: l. primus civitatis, Cic.: bene l. princeps, Cic.: plurimum et longe longeque plurimum tribuere voluptati, Cic. – l. praestare, antecellere, Cic.: l. anteponere alci rei, Cic. – B) weit = von weitem (s. Haupt opusc. 2, 455), agnoscere regem, Verg.: gemitum morientis, Ov.: videre, Ov.: accurrere, Ter.: longeque (= longe quoque), schon von weitem, Val. Flacc. – im Bilde, di immortales, quam tu longe iuris principia repetis, Cic. de legg. 1, 28: tam longe repetita principia, so weit hergeholte, Cic. ep. 13, 29, 2. – Spätlat. a longe u. de longe, s. Rönsch Itala p. 231. Muncker Hyg. fab. 257. p. 311. – II) übtr., von der Zeit, weit, lange, u. zwar von der fortlaufenden,
    ————
    von der Gegenwart in die Zukunft ausgedehnten Zeit, longe ante videre, Cic.: longe subsequi, lange danach, Quint.: longius debere, länger schuldig bleiben, Nep.: video caculam militarem me futurum haud longius, in nicht gar langer Zeit, nächstens, Plaut.: non nimium longe (später) in scaena florere, Gell. – haec dixi brevius... longius autem etc., weitläufiger, Cic. – si quid modo longius circumduxerunt, übermäßig lange herumgezogen haben, Quint.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > longe

  • 4 absum

    ab-sum, āfuī (abfuī), (āfutūrūs), abesse
    1) не быть, не находиться (где-л.), отсутствовать (ab или ex urbe C; ab domo Pl, L; domo et foro C)
    poena metusque aberant O — (в золотом веке) не существовало ни наказаний, ни страха (перед ними)
    aliquem absentem rodere H — бранить кого-л. за глаза
    absit invidia verbo погов. L — не сочтите за обиду, не взыщите на слове или (никому) не в обиду будь сказано
    2) не участвовать, держаться в стороне, не заниматься (bello Cs; publicis consiliis L; a periculis Sl)
    3) недоставать, не хватать (hoc unum illi afuit C; abest quod avemus Lcr)
    a. alicui (ab aliquo) C — не помогать кому-л.
    longe iis fraternum nomen populi Romani afuturum (esse) Cs — (Ариовист заявил, что в таком случае) звание братьев римского народа им нисколько не поможет
    multum abest Pythagorae statuam esse Ap — совсем непохоже, чтобы это была статуя Пифагора
    4)
    а) тж. перен. отстоять, быть далеко, находиться на (большом) расстоянии ( a naturā ferarum C)
    id enimvero hinc nunc abest Terэто дело дальнее (т. е. теперь об этом нечего и думать)
    a. a reprehensione alicujus rei C — не заслуживать упрёка в чём-л.
    б) безл.
    istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quia eos oderim C — я настолько далёк от того, чтобы их восхвалять, что (напротив) не в состоянии их не ненавидеть
    paulum (haud multum) afuit, quin hostes vincerentur Csнеприятели едва не были побеждены
    5) не быть свойственным, не подходить, быть чуждым
    quod certe abest a tua virtute Brutus ap. C — что, конечно, несовместимо с твоей доблестью
    nihil a me abest longius crudelitate C — нет свойства более мне чуждого, чем жестокость

    Латинско-русский словарь > absum

  • 5 absum

    ab-sum, āfuī, āfutūrus, abesse (ἄπειμι), weg-, fortsein (Ggstz. adesse), I) infolge einer Bewegung (Abwesenheit); dah. 1) im allg., weg-, nicht dasein, entfernt-, abwesend sein, ab domo, Plaut. u. Liv.: ab domo, ab re familiari paulo diutius, Liv.: ab urbe u. ex urbe, Cic.: ab alqo, Cic. – domo et foro, Cic.: nuptā lentus abesse tuā, Ov. – abesse longe, Cic.: longe gentium, Cic.: non longe hinc, Plaut.: propius, Cic.: procul, Cic.: tres menses, Ter. – dah. quare me, qui nullā lege abessem (abwesend [= in der Verbannung] sei), non restitui lege, sed revocari senatus auctoritate oportere, Cic. Sest. 73. – 2) insbes.: a) von der Teilnahme an etw. entfernt sein od. bleiben, wegbleiben, nicht teilnehmen, einer Sache nicht beiwohnen, einer Sache fern stehen, mit etw. nichts zu schaffen haben (Ggstz. adesse), ab hoc concilio, Caes.: a periculis, sich fern halten, Sall.: ab his studiis, Cic. – m. Abl., toto bello, Caes.: publicis consiliis, Liv. – afuisse in altercationibus, Cic. – b) alci od. ab alqo, mit seinem Beistande nicht dasein, fehlen, jmdm. nicht beistehen (versch. von deesse, jmd. im Stiche lassen), bes. als Verteidiger vor Gericht (Ggstz. alci adesse, alqm defendere, s. Halm zu Cic. Sull. 7 ed. mai.), qui Autronio non afuerim, Cic.: ne longe tibi Iuppiter absit, Ov.: nec dextrae erranti deus afuit, Verg.: et quo plus intererat, eo plus aberas a me, je mehr ich deines Beistandes bedurfte, desto mehr verließest du mich, Cic.: longe iis fraternum nomen P.R. afuturum, werde ihnen nirgends etwas helfen, Caes. – absol., nusquam abero, Verg.: nobis absentibus, ohne unser Dazutun, Cic. – c) geistig abwesend sein, cum milite isto praesens absens ut sies, Ter. Eun. 192. – d) nicht dasein, fern sein, verbannt sein, dah. auch abgehen, u. in diesem Sinne = fehlen (versch. von deesse, mangeln, vermißt werden; vgl. Sorof Cic. de or. 1, 48), hoc unum illi, si nihil utilitatis habebat, afuit (war nicht da), si opus erat, defuit (fehlte, wurde vermißt), Cic.: studium semper adsit, cunctatio absit, Cic.: denique isto bono utare dum adsit; cum absit, ne requiras, Cic.: semper aves quod abest, Lucr.: praeter idoneum ducem nihil abest ad subvortendum imperium, Sall. fr. – m. ab u. Abl., unum a praetura tua abest, Plaut.: neque corpus neque animus a vobis aberit, Sall. – m. Dat., quid enim abest huic homini, quod si adesset, iure haec ei tribui et concedi putaremus, Cic.: si cui dentes vetustate absunt, Varr.: abest luctamen remo, man rudert ohne Anstrengung, Verg.: abest enim historia litteris nostris, Cic.: fraudem et sermoni et rei abesse, Liv.: cum partem abesse numero sensisset, Liv.: ratus pluribus curam, omnibus afuisse fortunam, Curt.

    II) infolge der Lage (Abstand); dah. 1) eig., von einem Punkte (räumlich od. zeitlich) weg-, entfernt-, getrennt sein, abstehen, m. ab od. m. bl. Abl. u. absol., sowie mit u. ohne Bezeichnung des (räumlichen od. zeitlichen) Abstandes, paulum ab eius villa, Cic.: ab urbe milia passuum ducenta, Cic.: plus mille passibus a mari (v. einer Villa), Liv. fr.: quinque dierum iter ab Carthagine (v. einer Stadt), Liv.: bidui (v. Lager), Cic.: quatridui iter Laodiceā, Cic.: quatridui ab Autronio, Cic.: aequo spatio, Caes.: bidui spatio ab eo, Cic.: septem milium intervallo, Caes.: milibus passuum quattuor, Caes.: haud longe abesse potest, es muß nicht weit von hier sein, Plaut.: quoniam propius abes, weil du dort näher bist, Cic. – 2) übtr.: a) übh., von etw. entfernt sein, fern stehen, id enim vero hinc nunc abest, das liegt jetzt im weiten Felde, daran ist gegenwärtig nicht zu denken, Ter.: quod abest longissime, Cic.: u. so ab. longissime a vero, Cic.: longe a spe, Cic.: procul seditione, Liv.: paulum a capienda urbe, die Stadt beinahe einnehmen, Iustin.: cum ego ab ista laude non absim, mir dieser Ruhm nicht abgesprochen werden kann, Cic. – ille longe aberit, ut credat, wird weit entfernt sein zu glauben, Cic.: tantum aberat a bello, ut etc., Cic.: tantum afuit ab insolentia gloriae, ut etc., Nep.: tantum a paenitentia afuit, ut etc., Val. Max.: a quibus longe absunt, ut perseverent, Augustin. de civ. dei 9, 16, 1: sperare videor tantum afuturam esse orationem meam a minima suspicione offensionis tuae, te ut potius obiurgem, quam ut ego etc., Cic.; u. so die unpers. haud multum od. haud (non, nec) procul abest od. non longe abest od. paulum (paululum) abest, quin etc., es ist nicht weit entfernt od. nahe dabei, es fehlt nicht viel, daß usw., beinahe möchte usw. (s. Zumpt § 540), Cic., Caes. u.a.; so auch non multum abest ab eo, quin etc., Caes. b.G. 5, 2, 2: neque longius abesse, quin etc., es fehle gar nicht viel, daß er usw., er sei darauf u. daran, zu usw., Caes. b.G. 3, 18, 4: minimum abest, quin etc., Suet. Aug. 14: paulo afuit, quin, Ammian.: nihil afore credunt, quin etc., es könne nicht fehlen, Verg. Aen. 8, 147: quid abest, quin etc., Liv. 8, 4, 2. Val. Max. 5, 3. ext. 3: abesse non potest, quin etc., Gracch. b. Cic. or. 233 u. Gell. 11, 13, 3: spätlat., parum abest, quin etc., Donat. vit. Verg. c. 8: u. persönl., haud multum afuere, quin opera perrumperent, Liv. fr. 36 (bei Prisc. 6, 22): nec ita multum omnes afuisse, quin accusatorem potius dementiae accusarent, Apul. apol. 37: adeo vehementer talum inverti, ut minimum afuerim, quin articulum etiam a crure defregerim, Apul. flor. 16. – Dah. die Redensart tantum abest, ut... ut, weit entfernt, daß... ist usw., deren Entstehung durch folgende drei Stellen deutlich wird: id tantum abest officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic. de off. 1, 43: tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne etc., Cic. Tusc. 1, 76 (vgl. Liv. 25, 6, II): u. so zuletzt: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, d.i. weit entfernt, daß... vielmehr usw., Cic. Phil. 11, 36. – persönl. gebr., hoc detrimento milites nostri tantum afuerunt ut perturbarentur, ut incensi atque incitati magnas accessiones fecerint in operibus hostium expugnandis, Auct. b. Alex. 22, 1. – Spätlat., tantum aberat quominus aliquid nuntiaretur, ut etiam quae gesta non fuerant adicerentur, Heges. 3, 21, 1. – Zuw. tritt der zweite Satz, wie im Deutschen, auch selbständig auf, tantum afuit, ut inflammares nostros animos; somnum isto loco vix tenebamus, Cic. Brut. 278 (u. so Cic. de fin. 5, 57; ad Att. 13, 21, 5); od. es bildet das einfache tantum abest ut einen bloßen Nachsatz, wie Cic. ad Att. 6, 2, 1. – auch steht im zweiten Satz ut etiam, ut quoque, wie Cic. ep. 12, 15, 4. Suet. Tib. 50, 1; seltener ut contra, wie Liv. 6, 31, 4. – Spätlat. statt des ersten ut der Infinit., tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de etc., Amm. 15, 5, 36. – b) von etw. Unangenehmem entfernt-, also davon befreit-, frei sein, a culpa, Cic.: nihil a me abesse longius crudelitate, Caes. in Cic. ep.: a cupiditate pecuniae, Nep.: a reprehensione temeritatis absum, der Vorwurf bei Unbesonnenheit trifft mich nicht, Planc. in Cic. ep.: afuimus dolori, vergaßen den Schmerz, Ov. – c) v. ungehörigen, unangenehmen, lästigen Personen od. Dingen selbst, fern sein od. bleiben, si vis afuisset, Liv. fr. 49 (50) bei Sen. suas. 6, 22. – bes. in der Wunschformel absit = fern sei od. bleibe, m. ab u. Abl., carnifex vero et obductio capitis et nomen ipsum crucis absit non modo a corpore civium Romanorum, sed etiam a cogitatione, oculis, auribus, Cic.: absint et picti squalentia terga lacerti pinguibus a stabulis, Verg.: u. absol., vos quoque abesse iubeo, Tibull.: procul absit gloria vulgi, Tibull.: absit periculum, Sall. fr.: dolus malus abesto! Not. Tir.: u. bes. absit invidia verbo od. absit verbo invidia, fern sei Vermessenheit der Rede, Liv.: u. so bl. absit invidia, Curt. – Dah. im Spätlat. die Formel absit m. folg. ut od. Infinit. = es sei ferne, Gott wolle verhüten, daß usw., Apul. u. Sulpic. Sev.: u. procul absit, Stat., od. quod absit, Apul., das sei ferne, das wolle Gott verhüten! – d) mit Willen, aus innerem Trieb u. dgl. von etw. entfernt, also ihm abgeneigt sein, a consilio fugiendi, Cic.: a periculis, sich von den Gefahren entfernt halten, Cic. – e) mit Rücksicht auf die Beschaffenheit od. Eigenschaft einer Sache od. Pers. fern sein, fern stehen, von etw. abweichen, quod certe abest a tua virtute et fide, Brut. in Cic. ep.: istae κολακειαι non longe absunt a scelere, Cic. – bei Vergleichen höher stehen, im Vorteil sein, nullā re magis absumus a natura ferarum, Cic.: qui longissime a te afuit, Cic. – u. tiefer stehen, weit nachstehen, multum ab iis, Cic.; u. so Hor. de art. poët. 370. – f) von etw. noch fern sein, etw. nicht erreichen, a nitore Ciceronis, Quint.: a virtute alcis, Hor. – g) sich für etw. nicht eignen, sich nicht schicken, zu etw. nicht passen, ab forensi condicione, Cic.: a principis persona, Nep. – / statt abfui, abforem, abfore u. abfuturus haben die besten Handschriften u. auch die Ausgaben afui, aforem, afore, afuturus, s. Halm zu Cic. Sull. 7. p. 60 ed. mai. Osann zu Cic. de rep. 2, 69. p. 243. Heindorf zu Hor. sat. 1, 4, 104. Vgl. Neue-Wagener Formenl.3 2, 836 f. – arch. Konj. Präs. absiet, Cato r.r. 19, 1. – Form abfuat = absit, zweifelh. bei Fronto ep. ad am. 1, 14. p. 184 N. (viell. mit Eckstein abludat zu lesen).

    / Partic., absēns, tis, abwesend, a) v. Menschen (Ggstz. praesens, coram), α) räumlich: me absente, in meiner Abwesenheit, Cic.: te praesente absente, du magst da sein od. nicht, Ter.: absente nobis, Ter. eun. 649. – Dah. v. Verbannten, absens mecum in gratiam rediit, Cic. – v. Verstorbenen, absentes (poëtae) sunt pro praesentibus, Plaut. Cas. prol. 20; u. so Vitr. 7. pr. § 8. – u. von solchen, die, obgleich in Rom, bei öffentlichen Bewerbungen nicht als Mitbewerber erscheinen, Cic. de rep. 6, 11 (u. dazu Moser). Liv. 4, 42, 1 (u. dazu Drak.). – u. von solchen, die sich nicht vor Gericht stellen, de absente iudicare, Cic.; vgl. Halm zu Cic. Verr. 4, 40. – b) von Orten u. Dingen, entfernt, Rhodos, urbs, Hor.: rogus, Mart.: comae, nicht wirklich vorhandene, falsche, Mart. – versus absentes dicere, auswendig hersagen, Gell. 20, 10, 4. – c) geistig nicht bei der Sache, abwesend, mente ac sensu absentissimus, Augustin. confess. 4, 4.

    lateinisch-deutsches > absum

  • 6 absum

    ab-sum, āfuī, āfutūrus, abesse (ἄπειμι), weg-, fortsein (Ggstz. adesse), I) infolge einer Bewegung (Abwesenheit); dah. 1) im allg., weg-, nicht dasein, entfernt-, abwesend sein, ab domo, Plaut. u. Liv.: ab domo, ab re familiari paulo diutius, Liv.: ab urbe u. ex urbe, Cic.: ab alqo, Cic. – domo et foro, Cic.: nuptā lentus abesse tuā, Ov. – abesse longe, Cic.: longe gentium, Cic.: non longe hinc, Plaut.: propius, Cic.: procul, Cic.: tres menses, Ter. – dah. quare me, qui nullā lege abessem (abwesend [= in der Verbannung] sei), non restitui lege, sed revocari senatus auctoritate oportere, Cic. Sest. 73. – 2) insbes.: a) von der Teilnahme an etw. entfernt sein od. bleiben, wegbleiben, nicht teilnehmen, einer Sache nicht beiwohnen, einer Sache fern stehen, mit etw. nichts zu schaffen haben (Ggstz. adesse), ab hoc concilio, Caes.: a periculis, sich fern halten, Sall.: ab his studiis, Cic. – m. Abl., toto bello, Caes.: publicis consiliis, Liv. – afuisse in altercationibus, Cic. – b) alci od. ab alqo, mit seinem Beistande nicht dasein, fehlen, jmdm. nicht beistehen (versch. von deesse, jmd. im Stiche lassen), bes. als Verteidiger vor Gericht (Ggstz. alci adesse, alqm defendere, s. Halm zu Cic. Sull. 7 ed. mai.), qui Autronio non afuerim, Cic.: ne longe tibi Iuppiter absit, Ov.: nec dextrae erranti deus afuit, Verg.: et quo plus intererat, eo plus aberas a
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    me, je mehr ich deines Beistandes bedurfte, desto mehr verließest du mich, Cic.: longe iis fraternum nomen P.R. afuturum, werde ihnen nirgends etwas helfen, Caes. – absol., nusquam abero, Verg.: nobis absentibus, ohne unser Dazutun, Cic. – c) geistig abwesend sein, cum milite isto praesens absens ut sies, Ter. Eun. 192. – d) nicht dasein, fern sein, verbannt sein, dah. auch abgehen, u. in diesem Sinne = fehlen (versch. von deesse, mangeln, vermißt werden; vgl. Sorof Cic. de or. 1, 48), hoc unum illi, si nihil utilitatis habebat, afuit (war nicht da), si opus erat, defuit (fehlte, wurde vermißt), Cic.: studium semper adsit, cunctatio absit, Cic.: denique isto bono utare dum adsit; cum absit, ne requiras, Cic.: semper aves quod abest, Lucr.: praeter idoneum ducem nihil abest ad subvortendum imperium, Sall. fr. – m. ab u. Abl., unum a praetura tua abest, Plaut.: neque corpus neque animus a vobis aberit, Sall. – m. Dat., quid enim abest huic homini, quod si adesset, iure haec ei tribui et concedi putaremus, Cic.: si cui dentes vetustate absunt, Varr.: abest luctamen remo, man rudert ohne Anstrengung, Verg.: abest enim historia litteris nostris, Cic.: fraudem et sermoni et rei abesse, Liv.: cum partem abesse numero sensisset, Liv.: ratus pluribus curam, omnibus afuisse fortunam, Curt.
    II) infolge der Lage (Abstand); dah. 1) eig., von einem Punkte (räumlich od. zeitlich) weg-, entfernt-,
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    getrennt sein, abstehen, m. ab od. m. bl. Abl. u. absol., sowie mit u. ohne Bezeichnung des (räumlichen od. zeitlichen) Abstandes, paulum ab eius villa, Cic.: ab urbe milia passuum ducenta, Cic.: plus mille passibus a mari (v. einer Villa), Liv. fr.: quinque dierum iter ab Carthagine (v. einer Stadt), Liv.: bidui (v. Lager), Cic.: quatridui iter Laodiceā, Cic.: quatridui ab Autronio, Cic.: aequo spatio, Caes.: bidui spatio ab eo, Cic.: septem milium intervallo, Caes.: milibus passuum quattuor, Caes.: haud longe abesse potest, es muß nicht weit von hier sein, Plaut.: quoniam propius abes, weil du dort näher bist, Cic. – 2) übtr.: a) übh., von etw. entfernt sein, fern stehen, id enim vero hinc nunc abest, das liegt jetzt im weiten Felde, daran ist gegenwärtig nicht zu denken, Ter.: quod abest longissime, Cic.: u. so ab. longissime a vero, Cic.: longe a spe, Cic.: procul seditione, Liv.: paulum a capienda urbe, die Stadt beinahe einnehmen, Iustin.: cum ego ab ista laude non absim, mir dieser Ruhm nicht abgesprochen werden kann, Cic. – ille longe aberit, ut credat, wird weit entfernt sein zu glauben, Cic.: tantum aberat a bello, ut etc., Cic.: tantum afuit ab insolentia gloriae, ut etc., Nep.: tantum a paenitentia afuit, ut etc., Val. Max.: a quibus longe absunt, ut perseverent, Augustin. de civ. dei 9, 16, 1: sperare videor tantum afuturam esse orationem meam a minima suspicione offensionis tuae, te ut potius
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    obiurgem, quam ut ego etc., Cic.; u. so die unpers. haud multum od. haud (non, nec) procul abest od. non longe abest od. paulum (paululum) abest, quin etc., es ist nicht weit entfernt od. nahe dabei, es fehlt nicht viel, daß usw., beinahe möchte usw. (s. Zumpt § 540), Cic., Caes. u.a.; so auch non multum abest ab eo, quin etc., Caes. b.G. 5, 2, 2: neque longius abesse, quin etc., es fehle gar nicht viel, daß er usw., er sei darauf u. daran, zu usw., Caes. b.G. 3, 18, 4: minimum abest, quin etc., Suet. Aug. 14: paulo afuit, quin, Ammian.: nihil afore credunt, quin etc., es könne nicht fehlen, Verg. Aen. 8, 147: quid abest, quin etc., Liv. 8, 4, 2. Val. Max. 5, 3. ext. 3: abesse non potest, quin etc., Gracch. b. Cic. or. 233 u. Gell. 11, 13, 3: spätlat., parum abest, quin etc., Donat. vit. Verg. c. 8: u. persönl., haud multum afuere, quin opera perrumperent, Liv. fr. 36 (bei Prisc. 6, 22): nec ita multum omnes afuisse, quin accusatorem potius dementiae accusarent, Apul. apol. 37: adeo vehementer talum inverti, ut minimum afuerim, quin articulum etiam a crure defregerim, Apul. flor. 16. – Dah. die Redensart tantum abest, ut... ut, weit entfernt, daß... ist usw., deren Entstehung durch folgende drei Stellen deutlich wird: id tantum abest officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic. de off. 1, 43: tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne etc., Cic. Tusc. 1, 76 (vgl. Liv. 25, 6, II): u. so zu-
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    letzt: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, d.i. weit entfernt, daß... vielmehr usw., Cic. Phil. 11, 36. – persönl. gebr., hoc detrimento milites nostri tantum afuerunt ut perturbarentur, ut incensi atque incitati magnas accessiones fecerint in operibus hostium expugnandis, Auct. b. Alex. 22, 1. – Spätlat., tantum aberat quominus aliquid nuntiaretur, ut etiam quae gesta non fuerant adicerentur, Heges. 3, 21, 1. – Zuw. tritt der zweite Satz, wie im Deutschen, auch selbständig auf, tantum afuit, ut inflammares nostros animos; somnum isto loco vix tenebamus, Cic. Brut. 278 (u. so Cic. de fin. 5, 57; ad Att. 13, 21, 5); od. es bildet das einfache tantum abest ut einen bloßen Nachsatz, wie Cic. ad Att. 6, 2, 1. – auch steht im zweiten Satz ut etiam, ut quoque, wie Cic. ep. 12, 15, 4. Suet. Tib. 50, 1; seltener ut contra, wie Liv. 6, 31, 4. – Spätlat. statt des ersten ut der Infinit., tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de etc., Amm. 15, 5, 36. – b) von etw. Unangenehmem entfernt-, also davon befreit-, frei sein, a culpa, Cic.: nihil a me abesse longius crudelitate, Caes. in Cic. ep.: a cupiditate pecuniae, Nep.: a reprehensione temeritatis absum, der Vorwurf bei Unbesonnenheit trifft mich nicht, Planc. in Cic. ep.: afuimus dolori, vergaßen den Schmerz, Ov. – c) v. ungehörigen, unangenehmen, lästigen Personen od. Dingen selbst, fern sein
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    od. bleiben, si vis afuisset, Liv. fr. 49 (50) bei Sen. suas. 6, 22. – bes. in der Wunschformel absit = fern sei od. bleibe, m. ab u. Abl., carnifex vero et obductio capitis et nomen ipsum crucis absit non modo a corpore civium Romanorum, sed etiam a cogitatione, oculis, auribus, Cic.: absint et picti squalentia terga lacerti pinguibus a stabulis, Verg.: u. absol., vos quoque abesse iubeo, Tibull.: procul absit gloria vulgi, Tibull.: absit periculum, Sall. fr.: dolus malus abesto! Not. Tir.: u. bes. absit invidia verbo od. absit verbo invidia, fern sei Vermessenheit der Rede, Liv.: u. so bl. absit invidia, Curt. – Dah. im Spätlat. die Formel absit m. folg. ut od. Infinit. = es sei ferne, Gott wolle verhüten, daß usw., Apul. u. Sulpic. Sev.: u. procul absit, Stat., od. quod absit, Apul., das sei ferne, das wolle Gott verhüten! – d) mit Willen, aus innerem Trieb u. dgl. von etw. entfernt, also ihm abgeneigt sein, a consilio fugiendi, Cic.: a periculis, sich von den Gefahren entfernt halten, Cic. – e) mit Rücksicht auf die Beschaffenheit od. Eigenschaft einer Sache od. Pers. fern sein, fern stehen, von etw. abweichen, quod certe abest a tua virtute et fide, Brut. in Cic. ep.: istae κολακειαι non longe absunt a scelere, Cic. – bei Vergleichen höher stehen, im Vorteil sein, nullā re magis absumus a natura ferarum, Cic.: qui longissime a te afuit, Cic. – u. tiefer stehen, weit nachstehen, multum ab iis, Cic.; u. so Hor. de art.
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    poët. 370. – f) von etw. noch fern sein, etw. nicht erreichen, a nitore Ciceronis, Quint.: a virtute alcis, Hor. – g) sich für etw. nicht eignen, sich nicht schicken, zu etw. nicht passen, ab forensi condicione, Cic.: a principis persona, Nep. – statt abfui, abforem, abfore u. abfuturus haben die besten Handschriften u. auch die Ausgaben afui, aforem, afore, afuturus, s. Halm zu Cic. Sull. 7. p. 60 ed. mai. Osann zu Cic. de rep. 2, 69. p. 243. Heindorf zu Hor. sat. 1, 4, 104. Vgl. Neue-Wagener Formenl.3 2, 836 f. – arch. Konj. Präs. absiet, Cato r.r. 19, 1. – Form abfuat = absit, zweifelh. bei Fronto ep. ad am. 1, 14. p. 184 N. (viell. mit Eckstein abludat zu lesen).
    Partic., absēns, tis, abwesend, a) v. Menschen (Ggstz. praesens, coram), α) räumlich: me absente, in meiner Abwesenheit, Cic.: te praesente absente, du magst da sein od. nicht, Ter.: absente nobis, Ter. eun. 649. – Dah. v. Verbannten, absens mecum in gratiam rediit, Cic. – v. Verstorbenen, absentes (poëtae) sunt pro praesentibus, Plaut. Cas. prol. 20; u. so Vitr. 7. pr. § 8. – u. von solchen, die, obgleich in Rom, bei öffentlichen Bewerbungen nicht als Mitbewerber erscheinen, Cic. de rep. 6, 11 (u. dazu Moser). Liv. 4, 42, 1 (u. dazu Drak.). – u. von solchen, die sich nicht vor Gericht stellen, de absente iudicare, Cic.; vgl. Halm zu Cic. Verr. 4, 40. – b) von Orten u. Dingen, entfernt, Rhodos, urbs, Hor.:
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    rogus, Mart.: comae, nicht wirklich vorhandene, falsche, Mart. – versus absentes dicere, auswendig hersagen, Gell. 20, 10, 4. – c) geistig nicht bei der Sache, abwesend, mente ac sensu absentissimus, Augustin. confess. 4, 4.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > absum

  • 7 absum

    absum, ăbesse, āfŭi (abfŭi), āfŭtūrus, intr.    - voir l'article absum de Gaffiot.    - inf. fut. abfŏre (āfŏre).    - abfŏrem... (āfŏrem...) = abessem...    - les formes abfui, abforem, abfore, abfuturus ont moins d’autorité --- subj. prés. absiet Cato Agr. 19, 1 ; abfuat = absit Front p. 184, 4 --- formes apsum, apsens, dans quelques mss de Plaut. et Cic. [st1]1 [-] être absent, être hors de.    - abesse ab domo: être hors de chez soi.    - ab (ex) Urbe abesse, Cic.: être absent de Rome.    - abesse (ab) aliquo: n'être pas auprès de qqn.    - abesse in loco, Ov.: être ailleurs.    - in propinqua oppida aberat, Suet.: il s'absentait pour se rendre dans les villes voisines. [st1]2 [-] se tenir éloigné de, manquer à, faire défaut à; ne pas assister (qqn), ne pas secourir (qqn).    - quaerere quod abest, Ter.: chercher ce qui manque.    - unum a praetura tua abest, Plaut.: une seule chose manque à ta préture.    - abest historia litteris nostris (dat.), Cic.: l'histoire manque à notre littérature.    - neque animus neque corpus a vobis aberit, Sall.: ni mon coeur ni mon bras ne vous feront défaut.    - abesse alicui: ne pas assister qqn, ne pas secourir qqn.    - qui Antonio afuerim, Cic. Sull. 5: moi qui n'ai pas défendu Antonius.    - qui Autronio non afuerim, Cic.: moi qui n'ai pas manqué d'assister Autronius.    - absentibus nobis, Cic. Ac. 2: sans notre aide. [st1]3 [-] être éloigné de, être distant de.    - abesse ab Urbe millia passuum ducenta, Cic.: être à deux cent milles de Rome.    - quoniam propius abes, Cic.: puisque tu es plus près.    - ille longissime abest ut credat, Cic.: il est bien éloigné de croire.    - multum (longe) abest ut: il s'en faut de beaucoup que.    - non multum (non longe, paulum) abest quin: il ne s'en faut pas de beaucoup que.    - haud multum afuit quin interficeretur: il s'en fallut de peu qu'il ne fût tué (il a bien failli être tué).    - nos si pellant, nihil afore credunt, quin omnem Hesperiam sua sub juga mittant, Virg. En. 8: s'ils nous repoussaient, rien ne les empêcherait, croient-ils, de soumettre à leur joug l'Hespérie tout entière.    - tantum abest ut... Cic.: tant s'en faut que...    - tantum a poenitentia afuit ut... Val.-Max.: il fut fut si loin de se repentir que...    - id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic.: cela est tellement différent du devoir que rien ne peut lui être plus contraire.    - tantum abest ut... ut etiam...: tant s'en faut que... que, au contraire...    - tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de Gallicanis intercepta thesauris, Amm. 15: loin de louer les marques de son zèle actif, il signalait même, dans ses lettres, certains détournements effectués au préjudice du trésor public des Gaules.    - tantum abest ut gratiam quaesisse videar ut multas susceperim simultates, Cic.: bien loin de paraître chercher à me rendre populaire, je me suis fait beaucoup d'ennemis.    - quid abest quin pareamus? Liv.: pourquoi hésiter à obéir ([à quoi tient-il que nous obéissions])?    - scimus musicen nostris moribus abesse a principis personâ, Nep. Ep. 1, 2: nous savons que, d'après nos moeurs, la musique [est éloignée d'un personnage de premier plan] = ne convient pas à un personnage de premier plan.    - quae absunt ab forensi contentione, Cic.: qui ne conviennet pas à un débat public. [st1]4 [-] se tenir loin de, s'abstenir, être exempt de.    - abesse a bello (abesse bello), Caes.: ne pas prendre part à la guerre.    - afuit a societate sceleris, Nep.: il n'a pas pris part au crime.    - abesse a reprehensione, Cic.: être à l'abri d'un reproche.    - abesse a culpa: [être éloigné d'une faute] = être exempt de reproche, n'avoir rien à se reprocher, être innocent, être irréprochable. [st1]5 [-] avoir de l'éloignement pour, répugner, être contraire à.    - a consilio fugiendi absum, Cic.: je répugne à l'idée de fuir.    - quod abest a tua fide, Brut. ap. Cic.: ce qui est contraire à ta franchise. absim...: subj. prés. de absum (il s'emploie souvent comme formule de déprécation).    - pauperies immunda procul absit, Hor.: loin de moi la hideuse pauvreté.    - vos procul absitis, qui... Tib.: arrière, vous qui...    - absit invidia verbo, Liv.: soit dit sans offenser personne.    - quod absit! Apul.: ce qu'aux dieux ne plaise!    - absit te quaerere, S. Sev.: garde-toi de chercher.    - absit ut... Tert.: loin de moi la pensée de... [st1]6 [-] différer, être supérieur ou être inférieur.    - longe a te abfuit, Cic.: il t'a distancé de beaucoup (dans une élection).
    * * *
    absum, ăbesse, āfŭi (abfŭi), āfŭtūrus, intr.    - voir l'article absum de Gaffiot.    - inf. fut. abfŏre (āfŏre).    - abfŏrem... (āfŏrem...) = abessem...    - les formes abfui, abforem, abfore, abfuturus ont moins d’autorité --- subj. prés. absiet Cato Agr. 19, 1 ; abfuat = absit Front p. 184, 4 --- formes apsum, apsens, dans quelques mss de Plaut. et Cic. [st1]1 [-] être absent, être hors de.    - abesse ab domo: être hors de chez soi.    - ab (ex) Urbe abesse, Cic.: être absent de Rome.    - abesse (ab) aliquo: n'être pas auprès de qqn.    - abesse in loco, Ov.: être ailleurs.    - in propinqua oppida aberat, Suet.: il s'absentait pour se rendre dans les villes voisines. [st1]2 [-] se tenir éloigné de, manquer à, faire défaut à; ne pas assister (qqn), ne pas secourir (qqn).    - quaerere quod abest, Ter.: chercher ce qui manque.    - unum a praetura tua abest, Plaut.: une seule chose manque à ta préture.    - abest historia litteris nostris (dat.), Cic.: l'histoire manque à notre littérature.    - neque animus neque corpus a vobis aberit, Sall.: ni mon coeur ni mon bras ne vous feront défaut.    - abesse alicui: ne pas assister qqn, ne pas secourir qqn.    - qui Antonio afuerim, Cic. Sull. 5: moi qui n'ai pas défendu Antonius.    - qui Autronio non afuerim, Cic.: moi qui n'ai pas manqué d'assister Autronius.    - absentibus nobis, Cic. Ac. 2: sans notre aide. [st1]3 [-] être éloigné de, être distant de.    - abesse ab Urbe millia passuum ducenta, Cic.: être à deux cent milles de Rome.    - quoniam propius abes, Cic.: puisque tu es plus près.    - ille longissime abest ut credat, Cic.: il est bien éloigné de croire.    - multum (longe) abest ut: il s'en faut de beaucoup que.    - non multum (non longe, paulum) abest quin: il ne s'en faut pas de beaucoup que.    - haud multum afuit quin interficeretur: il s'en fallut de peu qu'il ne fût tué (il a bien failli être tué).    - nos si pellant, nihil afore credunt, quin omnem Hesperiam sua sub juga mittant, Virg. En. 8: s'ils nous repoussaient, rien ne les empêcherait, croient-ils, de soumettre à leur joug l'Hespérie tout entière.    - tantum abest ut... Cic.: tant s'en faut que...    - tantum a poenitentia afuit ut... Val.-Max.: il fut fut si loin de se repentir que...    - id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic.: cela est tellement différent du devoir que rien ne peut lui être plus contraire.    - tantum abest ut... ut etiam...: tant s'en faut que... que, au contraire...    - tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de Gallicanis intercepta thesauris, Amm. 15: loin de louer les marques de son zèle actif, il signalait même, dans ses lettres, certains détournements effectués au préjudice du trésor public des Gaules.    - tantum abest ut gratiam quaesisse videar ut multas susceperim simultates, Cic.: bien loin de paraître chercher à me rendre populaire, je me suis fait beaucoup d'ennemis.    - quid abest quin pareamus? Liv.: pourquoi hésiter à obéir ([à quoi tient-il que nous obéissions])?    - scimus musicen nostris moribus abesse a principis personâ, Nep. Ep. 1, 2: nous savons que, d'après nos moeurs, la musique [est éloignée d'un personnage de premier plan] = ne convient pas à un personnage de premier plan.    - quae absunt ab forensi contentione, Cic.: qui ne conviennet pas à un débat public. [st1]4 [-] se tenir loin de, s'abstenir, être exempt de.    - abesse a bello (abesse bello), Caes.: ne pas prendre part à la guerre.    - afuit a societate sceleris, Nep.: il n'a pas pris part au crime.    - abesse a reprehensione, Cic.: être à l'abri d'un reproche.    - abesse a culpa: [être éloigné d'une faute] = être exempt de reproche, n'avoir rien à se reprocher, être innocent, être irréprochable. [st1]5 [-] avoir de l'éloignement pour, répugner, être contraire à.    - a consilio fugiendi absum, Cic.: je répugne à l'idée de fuir.    - quod abest a tua fide, Brut. ap. Cic.: ce qui est contraire à ta franchise. absim...: subj. prés. de absum (il s'emploie souvent comme formule de déprécation).    - pauperies immunda procul absit, Hor.: loin de moi la hideuse pauvreté.    - vos procul absitis, qui... Tib.: arrière, vous qui...    - absit invidia verbo, Liv.: soit dit sans offenser personne.    - quod absit! Apul.: ce qu'aux dieux ne plaise!    - absit te quaerere, S. Sev.: garde-toi de chercher.    - absit ut... Tert.: loin de moi la pensée de... [st1]6 [-] différer, être supérieur ou être inférieur.    - longe a te abfuit, Cic.: il t'a distancé de beaucoup (dans une élection).
    * * *
        Absum, abes, priore breui, abfui, abesse. Estre absent.
    \
        Te abfuisse tandiu a nobis doleo. Cic. Que tu as esté si long temps arriere de nous, Hors d'avec nous.
    \
        Abesse a signis, etc. Plin. iun. S'esloigner du camp, de l'enseigne.
    \
        Non aberit longius. Terent. Il ne s'esloignera pas loing.
    \
        A periculo abesse. Plin. Estre hors des dangers, Estre loing du danger.
    \
        In altercationibus abesse. Cic. Ne se trouver point au debat.
    \
        Menses tres abest. Terent. Il y a trois mois qu'il est dehors.
    \
        Bidui spatio abest ab eo. Plancus Ciceroni. Il est à deux journees loing de luy.
    \
        Abesse bidui a castris. Cic. Estre à deux journees loing du camp.
    \
        Cuius hyberna aberant ab eo millia passuum XXV. Caes. Sa garnison estoit loing de luy XXV mille pas, ou le lieu de sa garnison.
    \
        Abest non longe a me. Cic. Il n'est pas fort loing de moy, ou de ma maison.
    \
        Non cogitas hinc longius abesse? Terent. Ne penses tu pas qu'il y ait bien loing d'ici?
    \
        Tu propius abes. Cic. Tu n'es pas fort loing.
    \
        Abesse propius a morte. Ci. Estre plus prochain, ou pres de la mort.
    \
        Multum abest ab iis. Cic. Il est beaucoup moindre que ceuls là, Il n'est point si excellent à beaucoup pres, Il n'en approche point, Il est bien loing de ceuls là.
    \
        Ab eo plurimum absum. Cic. Je n'ay garde de faire cela, J'en suis bien loing. \ Vnde longe absum. Cic. Dont je suis bien loing.
    \
        Abesse, pro Deesse. Plaut. Vnum a Praetura tua abest. Il s'en fault une chose, Il te default une chose.
    \
        Nummus abesse hinc non potest. Plaut. Il ne fault point qu'il s'en faille un tournois.
    \
        Quid ab his tot maleficiis sceleris abesse videtur? Cic. Quelle meschanceté s'en fault il qu'il n'ait faict?
    \
        Mihi animus etiam nunc abest. Plaut. Le courage ne m'est point encore revenu.
    \
        Quid abest huic homini, quod, etc. Cic. Qu'est ce qu'il default à cest homme, etc.
    \
        Vetustate dentes absunt. Varro. Defaillent, sont cheuts.
    \
        Id abest. Plaut. Il s'en fault cela.
    \
        Aliud nihil abest. Plaut. Il ne s'en fault que cela.
    \
        Vnus abest. Virgil. Il s'en fault un.
    \
        Ab omni contentione abesse. Cic. S'esloigner de toutes noises et debats.
    \
        Abesse a consilio fugiendi. Cic. N'estre point d'advis ou d'opinion de fuir.
    \
        Abesse a bello. Cic. Se tenir loing de la guerre, N'estre point à la guerre.
    \
        Abesse a bello, per translationem. Cic. N'estre point d'opinion de faire la guerre.
    \
        Abesse a crimine. Cic. N'estre point coulpable de quelque crime.
    \
        A culpa. Cic. Estre innocent de quelque chose.
    \
        A sententia alicuius. Cic. Estre contraire et loing de l'opinion de quelqu'un.
    \
        A qua suspicione ille aberat plurimum. Cic. Lequel ne povoit aucunement estre souspeconné de cela, Contre lequel on n'avoit matiere d'avoir tel souspecon.
    \
        Longissime a vero. Cic. Estre bien loing de la verité.
    \
        A vitiis. Cic. N'estre point entaché de vices.
    \
        Mea culpa abest. Cic. Ce n'est point ma faulte, On ne m'en peult donner le blasme.
    \
        Auaritiae absit suspicio. Cic. Qu'il n'y ait aucun souspecon d'avarice.
    \
        Procul a nobis absint ista. Plin. Soyent mis arriere.
    \
        Abesse longe a spe Consulatus. Cic. Estre loing d'esperance de povoir parvenir à estre Consul.
    \
        A cogitatione absit res ista. Cic. Qu'on n'y pense point.
    \
        Nunquam ab oculis meis abfuerunt. Cic. Je ne les ay jamais perdu de veue.
    \
        Abfuit virtus ab oculis fori et curiae. Cic. Ils n'ont point eu d'esgard à vertu, Ils n'ont point eu vertu devant les yeuls.
    \
        Longe aberit, vt argumentis credat philosophorum. Cic. Il n'est pas pres de croire, Il n'a garde de croire, Il est bien loing de croire, etc.
    \
        Nec multum abfuit, quin, etc. Liu. Il ne s'en fallut gueres que, etc.
    \
        Abesse non potest quin. Cic. Il ne peult estre que, etc. Il ne se peult faire que, etc.
    \
        Non aberit quin rideatur. Gell. Il ne s'en fauldra rien, qu'il ne soit mocqué.
    \
        Abesse alicui. Cic. Faillir de secours à aucun, Le laisser à son besoing sans le secourir.
    \
        Absit verbo inuidia. Liu. Que nul ne me scache mauvais gré de ce que je dis.
    \
        Tantum abest, vt meae rei familiaris, etc. Brutus Ciceroni. Tant s'en fault.

    Dictionarium latinogallicum > absum

  • 8 absum

    ab-sum, āfui (better than abfui), āfŭtārus (aforem, afore), v. n., in its most general signif., to be away from, be absent.
    I.
    In gen.
    A.
    Absol. without designating the distance (opp. adsum):

    num ab domo absum?

    Plaut. Ep. 5, 2, 16:

    me absente atque insciente,

    id. Trin. 1, 2, 130:

    domini ubi absunt,

    are not at home, not present, Ter. Eun. 3, 5, 53: facile aerumnam ferre possum, si inde abest injuria, Caecil. ap. Non. 430, 18.—
    B.
    With reference to the distance in space or time; which is expressed either by a definite number, or, in gen., by the advs. multum, paulum (not parum, v. below) longe, etc.:

    edixit, ut ab urbe abesset milia pass. ducenta,

    Cic. Sest. 12, 29:

    castra, quae aberant bidui,

    id. Att. 5, 16:

    hic locus aequo fere spatio ab castris Ariovisti et Caesaris aberat,

    Caes. B. G. 1, 43:

    haud longe abesse oportet,

    he ought not to be far hence, Plaut. Am. 1, 1, 166:

    legiones magnum spatium aberant,

    Caes. B. G. 2, 17:

    menses tres abest,

    Ter. Heaut. 1, 1, 66:

    haud permultum a me aberit infortunium,

    Ter. Heaut. 4, 2, 1; Cic. Fam. 2, 7.—With the simple abl. for ab:

    paulumque cum ejus villa abessemus,

    Cic. Ac. 1, 1 Görenz; but, ab ejus villa, B. and K.; cf.:

    nuptā abesse tuā,

    Ov. R. Am. 774.— With inter:

    nec longis inter se passibus absunt,

    Verg. A. 11, 907.—With prope, propius, proxime, to denote a short distance:

    nunc nobis prope abest exitium,

    is not far from, Plaut. Aul. 2, 3, 8;

    so with est: prope est a te Deus, tecum est,

    Sen. Ep. 41:

    loca, quae a Brundisio propius absunt, quam tu, biduum,

    Cic. Att. 8, 14:

    quoniam abes propius,

    since you are nearer, id. ib. 1, 1:

    existat aliquid, quod... absit longissime a vero,

    id. Ac. 2, 11, 36; so id. Deiot. 13; Caes. ap. Cic. Att. 9, 16 al.—Hence the phrase: tantum abest, ut—ut, so far from that, etc. (Zumpt, §

    779), the origin of which is evident from the following examples from Cic. (the first two of which have been unjustly assailed): id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Off. 1, 14 (with which comp. the person. expression: equidem tantum absum ab ista sententia, ut non modo non arbitrer... sed, etc.,

    id. de Or. 1, 60, 255):

    tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne, etc.,

    id. Tusc. 1, 31, 76: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, so far am I from that, id. Phil. 11, 14; sometimes etiam or quoque is added to the second clause, Lentul. ap. Cic. Fam. 12, 15, 2; Suet. Tib. 50; more rarely contra, Liv. 6, 31, 4. Sometimes the second ut is left out:

    tantum afuit, ut inflammares nostros animos: somnum isto loco vix tenebamus,

    Cic. Brut. 80, 278; on the contrary, once in Cic. with a third ut: tantum abest ut nostra miremur, ut usque eo difficiles ac morosi simus, ut nobis non satisfaciat ipse Demosthenes, Or. 29, 104.
    II.
    Hence,
    A.
    To be away from any thing unpleasant, to be freed or free from:

    a multis et magnis molestiis abes,

    Cic. Fam. 4, 3:

    a culpa,

    id. Rosc. Am. 20: a reprehensione temeritatis, Planc. ap. Cic. Fam. 10, 23.
    B.
    To be removed from a thing by will, inclination, etc.; to be disinclined to (syn. abhorreo)' a consilio fugiendi, Cic. Att. 7, 24:

    ab istis studiis,

    id. Planc. 25:

    ceteri a periculis aberant,

    kept aloof from, avoided, Sall. C. 6, 3. toto aberant bello, Caes. B. G. 7, 63.
    C.
    To be removed from a thing in regard to condition or quality, i. e. to be different from, to differ = abhorrere abest a tua virtute et fide, Brut. et Cass. ap. Cic. Fam. 11, 2: istae kolakeiai non longe absunt a scelere, id. Att. 13, 30:

    haec non absunt a consuetudine somniorum,

    id. Divin. 1, 21, [p. 13] 42.—Since improvement, as well as deterioration, may constitute the ground of difference, so absum may, according to its connection, designate the one or the other:

    nullā re longius absumus a naturā ferarum,

    in nothing are we more elevated above the nature of the brute, Cic. Off. 1, 16, 50;

    so also the much-contested passage,

    Cic. Planc. 7, 17: longissime Plancius a te afuit, i. e. valde, plurimis suffragiis, te vicit, was far from you in the number of votes, i. e. had the majority; v. Wunder ad Planc. proleg. p. 83 sq.; on the other hand, to be less, inferior: longe te a pulchris abesse sensisti, Cic. Fragm. ap. Non. 339, 23:

    multum ab eis aberat L. Fufius,

    id. Brut. 62, 222; so Hor. A. P. 370.
    D.
    Not to be suitable, proper, or fit for a thing:

    quae absunt ab forensi contentione,

    Cic. Or. 11, 37:

    ab principis personā,

    Nep. Ep. 1, 2.
    E.
    To be wanting, = desum, Pac. ap. Cic. Fin. 5, 11, 31 (Trag. Rel. p. 122 Rib.):

    unum a praeturā tuā abest,

    one thing is wanting to your praetorship, Plaut. Ep. 1, 1, 25: quaeris id quod habes;

    quod abest non quaeris,

    Ter. Heaut. 5, 4, 16; cf. Lucr. 3, 970 and 1095.—After Cicero, constr. in this signif. with dat.:

    quid huic abesse poterit de maximarum rerum scientiā?

    Cic. de Or. 1, 11, 48:

    abest enim historia litteris nostris,

    history is yet wanting to our literature, id. Leg. 2, 5.—So esp. in the poets:

    donec virenti canities abest morosa,

    Hor. C. 1, 9, 17; 3, 24, 64; Ov. M. 14, 371.—Hence the phrase non multum (neque multum), paulum, non (haud) procul, minimum, nihil abest, quin. not much, little, nothing is wanting that (Zumpt, Gr. § 540); but not parum, since parum in good classical authors does not correspond in meaning with non multum, but with non satis (v. parum):

    neque multum abesse ab eo, quin, etc.,

    Caes. B. G. 5, 2, 2; and absol.:

    neque multum afuit quin,

    id. B. C. 2, 35, 4:

    paulumque afuit quin, ib. § 2: legatos nostros haud procul afuit quin violarent,

    Liv. 5, 4 fin.:

    minimum afuit quin periret,

    was within a little of, Suet. Aug. 14:

    nihil afore credunt quin,

    Verg. A. 8, 147 al.
    F.
    Abesse alicui or ab aliquo, to be wanting to any one, to be of no assistance or service to (opp. adsum):

    ut mirari Torquatus desinat, me, qui Antonio afuerim, Sullam defendere,

    Cic. Sull. 5: facile etiam absentibus nobis ( without our aid) veritas se ipsa defendet, id. Ac. 2, 11, 36:

    longe iis fraternum nomen populi Romani afuturum,

    Caes. B. G. 1, 36. So also Cic. Planc. 5, 13: et quo plus intererat, eo plus aberas a me, the more I needed your assistance, the more you neglected me, v. Wunder ad h. l.; cf. also Sall. C. 20 fin.
    G.
    Cicero uses abesse to designate his banishment from Rome (which he would never acknowledge as such):

    qui nullā lege abessem,

    Cic. Sest. 34, 37; cf.: discessus. —Hence, absens, entis ( gen. plur. regul. absentium;

    absentum,

    Plaut. Stich. 1, 1, 5), P. a., absent (opp. praesens).
    A.
    In gen.:

    vos et praesentem me curā levatis et absenti magna solatia dedistis,

    Cic. Brut. 3, 11; so id. Off. 3, 33, 121; id. Verr. 2, 2, 17:

    quocirca (amici) et absentes adsunt et egentes abundant,

    id. Lael. 7, 23:

    ut loquerer tecum absens, cum coram id non licet,

    id. Att. 7, 15:

    me absente,

    id. Dom. 3; id. Cael. 50:

    illo absente,

    id. Tull. 17; id. Verr. 2, 60:

    absente accusatore,

    id. ib. 2, 99 al.— Sup.:

    mente absentissimus,

    Aug. Conf. 4, 4.—Of things (not thus in Cic.):

    Romae rus optas, absentem rusticus urbem tollis ad astra,

    Hor. S. 2, 7, 28; so,

    Rhodus,

    id. Ep. 1, 11, 21:

    rogus,

    Mart. 9, 77, 8:

    venti,

    Stat. Th. 5, 87:

    imagines rerum absentium,

    Quint. 6, 2, 29:

    versus,

    Gell. 20, 10.—
    B.
    In partic.
    1.
    In conversat. lang.
    (α).
    Praesens absens, in one's presence or absence:

    postulo ut mihi tua domus te praesente absente pateat,

    Ter. Eun. 5, 8, 29.—
    (β).
    Absente nobis turbatumst, in our absence (so also:

    praesente nobis, v. praesens),

    Ter. Eun. 4, 3, 7; Afran. ap. Non. 76, 19 (Com. Rel. p. 165 Rib.).—
    2.
    In polit. lang., not appearing in public canvassings as a competitor:

    deligere (Scipio) iterum consul absens,

    Cic. Rep. 6, 11; so Liv. 4, 42, 1; 10, 22, 9.—
    3.
    = mortuus, deceased, Plaut. Cas. prol. 20; Vitr. 7, praef. § 8.—
    4.
    Ellipt.: absens in Lucanis, absent in Lucania, i. e. absent and in Lucania, Nep. Hann. 5, 3; so id. Att. 8, 6.

    Lewis & Short latin dictionary > absum

  • 9 ego

    ĕgŏ, (gén. mei; dat. mihi ou qqf. mi; abl. et acc. me), m. et f. je, moi, personnellement, pour moi, quant à moi, c'est moi qui.    - la déclinaison    - egomet, mihimet, memet (pronom + met, particule d'insistance, invariable): moi-même.    - eam navem egomet vidi Veliae, Cic. Verr. 44: ce bateau, je l'ai vu moi-même à Vélie.    - ego omnia feci: c'est moi qui ai tout fait.    - ego censeo...: pour moi, je suis d'avis que...    - ego, tu et ille: lui, toi et moi. (ordre inverse en français).    - mihimet ineunda ratio est, Cic. Verr. 3, 110: je dois moi-même prendre des mesures.    - Amphitruonem memet esse adsimulabo, Plaut. Amph. 3, 1, 13: je vais feindre d'être moi-même Amphitryon.    - meruimus et ego et pater de vobis, Plaut.: mon père et moi, nous vous avons rendu service.    - ego tu sum, tu es ego: uni animi sumus, Plaut.: je suis toi, tu es moi: nous ne sommes qu'une âme.    - ego sum ille consul, Cic.: c'est moi, ce consul.    - egone (egon') ? qui, moi?    - egone haec patiar? Plaut. As. 4, 2, 1: moi! je supporterais cela!    - ego vero: quant à moi, pour moi.    - o ego laevus! maladroit que je suis!    - odio mei, Cic.: par haine pour moi.    - Curii villa abest non longe a me, Cic.: Curius habite à la campagne près de moi.    - nomen imperatoris, quo me mei milites appellarunt, mihi maximum est: le nom d'imperator, par lequel m'ont appelé mes soldats, est pour moi le plus grand.    - res mi in mentem venit, Cic.: une chose me vient à l'esprit.    - quis igitur nisi vos narravit mi, illi ut fuerit proelium? Plaut. Amph. 2. 2. 114: qui donc, si ce n'est vous, m'a raconté comment s'est passé le combat là-bas?    - med = me (acc.)    - dic igitur med aniticulam, Plaut.: alors, dis que je suis ton petit canard. mihi, apparemment explétif, est en fait un datif éthique, qui exprime un désir ou une opinion personnelle.    - sit mihi orator tinctus litteris, Cic.: je veux que l'orateur soit versé dans les lettres.    - mihi supera saxa, d'après Virg.: franchis les rochers (franchis-moi les rochers) → cf. fermez-moi cette porte.    - erit ille mihi semper deus: à mes yeux, il sera toujours un dieu. mei est un emprunt au génitif neutre du possessif meus: il renvoie au masculin ou au féminin, selon le contexte, avec le sens littéral de «mon être».    - cupidus videndi mei: désireux de me voir (le pronom mei est au masculin ou au féminin, selon le contexte.)    - memento mei: souviens-toi de moi.    - fastidit mei: il me dédaigne.
    * * *
    ĕgŏ, (gén. mei; dat. mihi ou qqf. mi; abl. et acc. me), m. et f. je, moi, personnellement, pour moi, quant à moi, c'est moi qui.    - la déclinaison    - egomet, mihimet, memet (pronom + met, particule d'insistance, invariable): moi-même.    - eam navem egomet vidi Veliae, Cic. Verr. 44: ce bateau, je l'ai vu moi-même à Vélie.    - ego omnia feci: c'est moi qui ai tout fait.    - ego censeo...: pour moi, je suis d'avis que...    - ego, tu et ille: lui, toi et moi. (ordre inverse en français).    - mihimet ineunda ratio est, Cic. Verr. 3, 110: je dois moi-même prendre des mesures.    - Amphitruonem memet esse adsimulabo, Plaut. Amph. 3, 1, 13: je vais feindre d'être moi-même Amphitryon.    - meruimus et ego et pater de vobis, Plaut.: mon père et moi, nous vous avons rendu service.    - ego tu sum, tu es ego: uni animi sumus, Plaut.: je suis toi, tu es moi: nous ne sommes qu'une âme.    - ego sum ille consul, Cic.: c'est moi, ce consul.    - egone (egon') ? qui, moi?    - egone haec patiar? Plaut. As. 4, 2, 1: moi! je supporterais cela!    - ego vero: quant à moi, pour moi.    - o ego laevus! maladroit que je suis!    - odio mei, Cic.: par haine pour moi.    - Curii villa abest non longe a me, Cic.: Curius habite à la campagne près de moi.    - nomen imperatoris, quo me mei milites appellarunt, mihi maximum est: le nom d'imperator, par lequel m'ont appelé mes soldats, est pour moi le plus grand.    - res mi in mentem venit, Cic.: une chose me vient à l'esprit.    - quis igitur nisi vos narravit mi, illi ut fuerit proelium? Plaut. Amph. 2. 2. 114: qui donc, si ce n'est vous, m'a raconté comment s'est passé le combat là-bas?    - med = me (acc.)    - dic igitur med aniticulam, Plaut.: alors, dis que je suis ton petit canard. mihi, apparemment explétif, est en fait un datif éthique, qui exprime un désir ou une opinion personnelle.    - sit mihi orator tinctus litteris, Cic.: je veux que l'orateur soit versé dans les lettres.    - mihi supera saxa, d'après Virg.: franchis les rochers (franchis-moi les rochers) → cf. fermez-moi cette porte.    - erit ille mihi semper deus: à mes yeux, il sera toujours un dieu. mei est un emprunt au génitif neutre du possessif meus: il renvoie au masculin ou au féminin, selon le contexte, avec le sens littéral de «mon être».    - cupidus videndi mei: désireux de me voir (le pronom mei est au masculin ou au féminin, selon le contexte.)    - memento mei: souviens-toi de moi.    - fastidit mei: il me dédaigne.
    * * *
        Ego, mei vel mis, mihi, me, a me, Pronomen. Moy.
    \
        Ego vero. Cicero, Quod te excusas: ego vero et tuas causas nosco, etc. Je vous di plus fort, etc.
    \
        Ego vero istuc ago. Terent. Je m'en soulcie bien. Dict par mocquerie.
    \
        Eorum ego vitam mortemque iuxta aestimo. Sallust. Quant est de moy.
    \
        Egomet, pen. corr. Plaut. Moymesme.
    \
        Si nequeo facere vt abeas, egomet abire volo. Plaut. Si m'en veulx je aller.
    \
        Egomet quoque eius causa in funus prodeo. Terent. Moymesme aussi.
    \
        Egone? Terent. - quid coeptas Thraso? T. Egone? vt Thaidi me dedam, etc. Quoy, moy? à fin, etc.
    \
        Potin'est hic tacere? P. egone? optume. Terent. Qui, moy? Est ce moy, etc.
    \
        Egone debacchatus sum in te, an tu in me? Terent. Est ce moy qui etc.
    \
        Egone id timeo? Terent. Penses tu que je craigne cela?
    \
        Egone quid velim? Terent. Me demandes tu que je veulx?
    \
        Mihi pulchra satis est. Plaut. Elle me semble assez belle.
    \
        Mihi tu dederis pallam et spinter? nunquam factum reperies. Plaut. Dis tu que me l'as baillee? Il n'est pas ainsi.
    \
        Mihi quidem esurio, non tibi. Plaut. C'est mon dommage, non pas le tien, Tu n'en as que faire.
    \
        Quid istic tibi negotii est? C. mihine? S. ita. Terent. Dis tu? ou Parles tu à moy?
    \
        Mihimet, pen. corr. Plaut. A moymesme.
    \
        Me vide. Plaut. Regarde moy, Ne te soulcie.
    \
        Me miseram! Terent. Las miserable femme que je suis!
    \
        Me viuo. Plaut. De mon vivant.

    Dictionarium latinogallicum > ego

  • 10 bene

    bĕnĕ, adv. of manner and intensity [bonus; the first vowel assimilated to the e of the foll. syllable; cf. Corss. Ausspr. 2, 366], well ( comp. melius, better; sup. optime [v. bonus init. ], best; often to be rendered by more specific Engl. adverbs).
    I.
    As adjunct of verbs.
    A.
    In gen.
    1.
    Of physical or external goodness, usefulness, ornament, and comfort:

    villam rusticam bene aedificatam habere expedit,

    Cato, R. R. 3:

    villam bonam beneque aedificatam,

    Cic. Off. 3, 13, 55:

    quid est agrum bene colere? Bene arare,

    Cato, R. R. 61:

    agro bene culto nihil potest esse... uberius,

    Cic. Sen. 16, 57:

    ubi cocta erit bene,

    Cato, R. R. 157; 3; 4;

    32 et saep.: te auratam et vestitam bene,

    Plaut. Men. 5, 2, 50: ornatus hic satis me condecet? Ps. Optume, it is very becoming, id. Ps. 4, 1, 26:

    me bene curata cute vises,

    well tended, Hor. Ep. 1, 4, 15:

    bene olere,

    Verg. E. 2, 48:

    bene sonare,

    Quint. 8, 3, 16:

    neque tamen non inprimis bene habitavit,

    in the very best style, Nep. Att. 13, 1:

    a Catone cum quaereretur, quid maxime in re familiari expediret, respondet Bene pascere? Quid secundum? Satis bene pascere,

    Cic. Off. 2, 25, 89: so,

    bene cenare,

    Cat. 13, 17; Hor. Ep. 1, 6, 56:

    bene de rebus domesticis constitutum esse,

    to be in good circumstances, Cic. Sest. 45, 97;

    similarly: rem (i. e. familiarem) bene paratam comitate perdidit,

    well arranged, Plaut. Rud. prol. 38.—
    2.
    With respect to the mind.
    a.
    Perception, knowledge, ability:

    quas tam bene noverat quam paedagogos nostros novimus,

    Sen. Ep. 27, 5:

    quin melius novi quam te et vidi saepius,

    Plaut. Capt. 5, 2, 22:

    novi optime (Bacchus) et saepe vidi,

    Cic. Fam. 7, 23, 2:

    qui optime suos nosse deberet,

    Nep. Con. 4, 1; cf. Hor. Ep. 1, 18, 1; id. S. 1, 9, 22: satin' haec meministi et tenes? Pa. Melius quam tu qui docuisti, Plaut. Pers. 2, 2, 2:

    quod eo mihi melius cernere videor quo ab eo proprius absum,

    Cic. Sen. 21, 77:

    ut hic melius quam ipse illa scire videatur,

    id. de Or. 1, 15, 66; id. Or. 38, 132:

    cum Sophocles vel optime scripserit Electram suam,

    id. Fin. 1, 2, 5:

    gubernatoris ars quia bene navigandi rationem habet,

    of able seamanship, id. ib. 1, 13, 42:

    melius in Volscis imperatum est,

    better generalship was displayed, Liv. 2, 63, 6:

    nihil melius quam omnis mundus administratur,

    Cic. Inv. 1, 34, 59: de medico bene existimari scribis, that he is well thought ( spoken) of, i. e. his ability, id. Fam. 16, 14, 1:

    prudentibus et bene institutis,

    well educated, id. Sen. 14, 50:

    sapientibus et bene natura constitutis,

    endowed with good natural talent, id. Sest. 65, 137:

    quodsi melius geruntur ea quae consilio geruntur quam, etc.,

    more ably, id. Inv. 1, 34, 59:

    tabulas bene pictas collocare in bono lumine,

    good paintings, id. Brut. 75, 261:

    canere melius,

    Verg. E. 9, 67; Quint. 10, 1, 91:

    bene pronuntiare,

    id. 11, 3, 12:

    bene respondere interrogationibus,

    id. 5, 7, 28; 6, 3, 81.—
    b.
    Of feeling, judgment, and will:

    similis in utroque nostrum, cum optime sentiremus, error fuit,

    when we had the best intentions, Cic. Fam. 4, 2, 3; so id. ib. 6, 4, 2; so,

    bene sentire,

    id. ib. 6, 1, 3; so,

    bene, optime de re publica sentire,

    to hold sound views on public affairs, id. Off. 1, 41, 149; id. Fam. 4, 14, 1; id. Phil. 3, 9, 23:

    bene animatas eas (insulas) confirmavit,

    well disposed, Nep. Cim. 2, 4:

    ei causae quam Pompeius animatus melius quam paratus susceperat,

    Cic. Fam. 6, 6, 10; so, optime animati, Varr. ap. Non. p. 201, 7:

    quod bene cogitasti aliquando, laudo,

    that you had good intentions, Cic. Phil. 2, 14, 34:

    se vero bene sperare (i. e. de bello),

    had good hopes, Liv. 6, 6, 18:

    sperabis omnia optime,

    Cic. Fam. 4, 13, 7:

    tibi bene ex animo volo,

    Ter. Heaut. 5, 2, 6; so freq.: bene alicui velle, v. volo: bene aliquid consulere, to plan something well:

    vigilando, agendo, bene consulendo prospera omnia cedunt,

    Sall. C. 52, 29:

    omnia non bene consulta,

    id. J. 92, 2. —
    c.
    Of morality, honesty, honor, etc.
    (α).
    Bene vivere, or bene beateque vivere ( = kalôs kagathôs), to lead a moral and happy life:

    qui virtutem habeat, eum nullius rei ad bene vivendum indigere,

    Cic. Inv. 1, 51, 93:

    in dialectica vestra nullam esse ad melius vivendum vim,

    id. Fin. 1, 19, 63:

    quod ni ita accideret et melius et prudentius viveretur,

    id. Sen. 19, 67; cf. id. Ac. 1, 4, 15; id. Fin. 1, 13, 45; id. Off. 1, 6, 19; id. Fam. 4, 3, 3 et saep. (for another meaning of bene vivere, cf. e. infra).—
    (β).
    Bene mori, to die honorably, bravely, creditably, gloriously:

    qui se bene mori quam turpiter vivere maluit,

    Liv. 22, 50, 7:

    ne ferrum quidem ad bene moriendum oblaturus est hostis,

    id. 9, 3, 3; so id. 21, 42, 4:

    tum potui, Medea, mori bene,

    Ov. H. 12, 5.—
    (γ).
    Bene partum, what is honestly, honorably earned or acquired:

    multa bona bene parta habemus,

    Plaut. Trin. 2, 2, 65:

    mei patris bene parta indiligenter Tutatur,

    Ter. Phorm. 5, 3, 5:

    res familiaris primum bene parta sit, nullo neque turpi quaestu, neque odioso,

    Cic. Off. 1, 26, 92:

    diutine uti bene licet partum bene,

    Plaut. Rud. 4, 7, 15; Sall. C. 51, 42 (cf.:

    mala parta,

    Cic. Phil. 2, 27, 65:

    male par tum,

    Plaut. Poen. 4, 2, 22).—
    (δ).
    Apud bonos bene agier, an old legal formula: bona fide agi (v. bonus), to be transacted in good faith among good men. ubi erit illa formula fiduciae ut inter bonos bene agier oportet? Cic. Fam. 7, 12, 2; id. Off. 3, 15, 61; 3, 17, 70.—
    (ε).
    Non bene = male, not faithfully:

    esse metus coepit ne jura jugalia conjunx Non bene servasset,

    Ov. M. 7, 716.—
    d.
    Representing an action as right or correct, well, rightly, correctly: bene mones, Ibo, you are right ( to admonish me), Ter. And. 2, 2, 36:

    sequi recusarunt bene monentem,

    Liv. 22, 60, 17:

    quom mihi et bene praecipitis, et, etc.,

    since you give sound advice, Plaut. Poen. 3, 2, 55; so Ter. Ad. 5, 9, 6; 3, 3, 80; Lucil. ap. Non. p. 372, 7:

    bene enim majores accubitionem epularem amicorum convivium nominarunt, melius quam Graeci,

    Cic. Sen. 13, 45:

    hoc bene censuit Scaevola,

    correctly, Dig. 17, 1, 48.—
    e.
    Pleasantly, satisfactorily, profitably, prosperously, fortunately, successfully:

    nunc bene vivo et fortunate atque ut volo atque animo ut lubet,

    Plaut. Mil. 3, 1, 111:

    nihil adferrent quo jucundius, id est melius, viveremus,

    Cic. Fin. 1, 41, 72:

    si bene qui cenat, bene vivit,

    Hor. Ep. 1, 6, 56: quamobrem melius apud bonos quam apud fortunatos beneficium collocari puto, is better or more profitably invested, Cic. Off. 2, 20, 71:

    perdenda sunt multa beneficia ut semel ponas bene, Sen. Ben. poet. 1, 2, 1: etiamsi nullum (beneficium) bene positurus sit,

    id. ib. 1, 2, 2:

    quando hoc bene successit,

    Ter. Ad. 2, 4, 23: bene ambulatum'st? Di. Huc quidem, hercle, ad te bene, Quia tui vivendi copia'st, has your walk been pleasant? Plaut. Truc. 2, 4, 18:

    melius ominare,

    use words of better omen, id. Rud. 2, 3, 7; Cic. Brut. 96, 329:

    qui se suamque aetatem bene curant,

    Plaut. Ps. 4, 7, 36.—So, bene (se) habere: ut bene me haberem filiai nuptiis, have a good time at, etc., Plaut. Aul. 2, 8, 2:

    qui se bene habet suisque amicis usui est,

    who enjoys his life and is a boon companion, id. Mil. 3, 1, 128:

    nam hanc bene se habere aetatem nimio'st aequius,

    id. Merc. 3, 2, 6: bene consulere alicui, to take good care for somebody ' s interests:

    tuae rei bene consulere cupio,

    id. Trin. 3, 2, 9:

    ut qui mihi consultum optume velit esse,

    Ter. Phorm. 1, 3, 1:

    me optime consulentem saluti suae,

    Cic. Fam. 4, 14, 2:

    qui se ad sapientes viros bene consulentes rei publicae contulerunt,

    id. Off. 2, 13, 46.—So, bene mereri, and rarely bene merere, to deserve well of one, i. e. act for his advantage; absol. or with de:

    addecet Bene me, renti bene referre gratiam,

    Plaut. Rud. 5, 3, 36:

    Licinii aps te bene merenti male refertur gratia?

    id. Ps. 1, 3, 86:

    ut memorem in bene meritos animum praestarem,

    Cic. Fam. 1, 9, 10:

    cogor nonnumquam homines non optime de me meritos rogatu eorum qui bene meriti sunt, defendere,

    id. ib. 7, 1, 4:

    tam bene meritis de nomine Punico militibus,

    Liv. 23, 12, 5:

    si bene quid de te merui,

    Verg. A. 4, 317; cf. Cic. Opt. Gen. 7, 20; id. Sest. 1, 2; 12, 39; 66, 139; 68, 142; id. Mil. 36, 99; id. Phil. 2, 14, 36 et saep.; v. mereo, D. and P. a.—So esp. referring to price: bene emere, to buy advantageously, i. e. cheaply; bene vendere, to sell advantageously, i. e. at a high price: bene ego hercle vendidi te, Plaut. [p. 230] Durc. 4, 2, 34:

    et quoniam vendat, velle quam optime vendere,

    Cic. Off. 3, 12, 51:

    ita nec ut emat melius, nec ut vendat quidquam, simulabit vir bonus,

    id. ib. 3, 15, 61: vin' bene emere? Do. Vin' tu pulcre vendere? Plaut. Pers. 4, 4, 38:

    melius emetur,

    Cato, R. R. 1: quo melius emptum sciatis, Cic. ap. Suet. Caes. 50 fin.:

    qui vita bene credat emi honorem,

    cheaply, Verg. A. 9, 206; Sil 4, 756.—
    f.
    Expressing kindness, thanks, etc.: bene facis, bene vocas, bene narras, I thank you, am obliged to you for doing, calling, saying (colloq.): merito amo te. Ph. Bene facis, thanks! Ter Eun. 1, 2, 106; cf.:

    in consuetudinem venit, bene facis et fecisti non mdicantis esse, sed gratias agentis, Don. ad loc.' placet, bene facitis,

    Plaut. Rud. 3, 6, 43: dividuom talentum faciam. La. Bene facis, id. ib. 5, 3, 52: si quid erit dubium, immutabo Da. Bene fecisti, id. Ep. 5, 1, 40 Lo. Adeas, si velis. La. Bene hercle factum vobis habeo gratiam. Accedam propius, id. Rud. 3, 6, 2; Ter. Ad. 4, 3, 10.—With gratiam habere: bene fecisti;

    gratiam habeo maximam,

    Ter. Eun. 5, 8, 61; cf.

    bene benigneque arbitror te facere,

    Plaut. Most. 3, 2, 130: quin etiam Graecis licebit utare cum voles... Bene sane facis, sed enitar ut Latine loquar, I thank you for the permission, but, etc., Cic. Ac. 1, 7, 25: an exitum Cassi Maelique expectem? Bene facitis quod abominamini... sed, etc., I am much obliged to you for abhorring this, but, etc., Liv. 6, 18, 9: bene edepol narras; nam illi faveo virgini, thanks for telling me, for, etc., Ter. Eun. 5, 3, 7 (cf.:

    male hercule narras,

    I owe you little thanks for saying so, Cic. Tusc. 1, 6, 10):

    bene, ita me di ament, nuntias,

    Ter. Hec. 4, 4, 20:

    benenarras,

    Cic. Att. 16, 14, 4; 13, 33, 2: tu ad matrem adi. Bene vocas; benigne dicis Cras apud te, thanks for your invitation, but, etc., Plaut. Merc. 5, 2, 108: eamus intro ut prandeamus. Men. Bene vocas, tam gratia'st, id. Men. 2, 3, 41.—
    g.
    Of accuracy, etc., well, accurately, truly, completely:

    cum ceterae partes aetatis bene descriptae sint,

    Cic. Sen. 2, 5:

    cui bene librato... Obstitit ramus,

    Ov. M. 8, 409:

    at bene si quaeras,

    id. ib. 3, 141:

    tibi comprimam linguam. Hau potes: Bene pudiceque adservatur,

    Plaut. Am. 1, 1, 196:

    bene dissimulare amorem,

    entirely, Ter. And. 1, 1, 105:

    quis enim bene celat amorem?

    Ov. H. 12, 37.—So with a negation, = male restat parvam quod non bene compleat urnam, Ov. M. 12, 615: non bene conveniunt... Majestas et amor, id. ib 2, 846.—Redundant, with vix (Ovid.):

    vix bene Castalio descenderat antro, Incustoditam lente videt ire juvencam ( = vix descenderat cum, etc.),

    Ov. M. 3, 14:

    tactum vix bene limen erat, Aesonides, dixi, quid agit meus?

    id. H. 6, 24:

    vix bene desieram, rettulit illa mihi,

    id. F 5, 277.—
    h.
    Sup., most opportunely, at the nick of time (comic):

    sed eccum meum gnatum optume video,

    Plaut. Merc. 2, 2, 57:

    sed optume eccum exit senex,

    id. Rud. 3, 3, 44. optume adveniens, puere, cape Chlamydem, etc., id. Merc. 5, 2, 69: Davum optume Video, Ter And. 2, 1, 35; 4, 2, 3; Plaut. Rud. 3, 5, 25; 4, 5, 19; Ter. Eun. 5, 2, 66; id. Heaut. 4, 5, 9; 5, 5, 2.—
    i.
    Pregn.: bene polliceri = large polliceri, to make liberal promises ' praecepit ut ceteros adeant, bene polliceantur, Sall. C. 41, 5; cf.: bene promittere, to promise success:

    quae autem inconstantia deorum ut primis minentur extis, bene promittant secundis?

    Cic. Div. 2, 17, 38.—
    B.
    In partic.
    1.
    Bene dicere.
    a.
    To speak well, i. e. eloquently:

    qui optime dicunt,

    the most eloquent, Cic. de Or. 1, 26, 119; 2, 2, 5:

    etiam bene dicere haud absurdum est,

    Sall. C. 3, 1:

    abunde dixit bene quisquis rei satisfecit,

    Quint. 12, 9, 7;

    cf: bene loqui,

    to use good language, speak good Latin, Cic. Brut. 58, 212, 64, 228.—
    b.
    To speak ably:

    multo oratorem melius quam ipsos illos quorum eae sint artes esse dicturum,

    Cic. Or. 1, 15, 65; cf. Hor. Ep. 1, 2, 4. bene dicendi scientia, Quint. 7, 3, 12.—
    c.
    To speak correctly or elegantly:

    eum et Attice dicere et optime, ut..bene dicere id sit, Attice dicere,

    Cic. Opt. Gen. 4, 13 ' optime dicta, Quint. 10, 1, 19.—So, bene loqui:

    ut esset perfecta illa bene loquendi laus,

    Cic. Brut. 72, 252:

    at loquitur pulchre. Num melius quam Plato?

    id. Opt. Gen. 5, 16.—
    d.
    To speak well, i e. kindly, of one, to praise him; absol. or with dat., or reflex., with inter (less correctly as one word, benedicere): cui bene dixit umquam bono? Of what good man has he ever spoken well, or, what good man has he ever praised, Cic. Sest. 52, 110. bene, quaeso, inter vos dicatis, et amice absenti tamen, Plaut. Mil. 4, 8, 31.—Ironically:

    bene equidem tibi dico qui te digna ut eveniant precor,

    Plaut. Rud. 3, 2, 26:

    nec tibi cessaret doctus bene dicere lector,

    Ov. Tr. 5, 9, 9: cui a viris bonis bene dicatur, Metell. Numid. ap. Gell. 6, 11, 3.— And dat understood:

    si bene dicatis (i. e. mihi) vostra ripa vos sequar,

    Plaut. Poen. 3, 3, 18 ' omnes bene dicunt (ei), et amant (eum), Ter. Ad. 5, 4, 11:

    ad bene dicendum (i e. alteri) delectandumque redacti,

    Hor. Ep 2, 1, 155 —Part. ' indignis si male dicitur, male dictum id esse duco;

    Verum si dignis dicitur, bene dictum'st,

    is a praise, Plaut. Curc. 4, 2, 27 sq.: nec bene nec male dicta profuerunt ad confirmandos animos, Liv 23, 46, 1; cf. Ter. Phorm. prol. 20 infra. —Bene audio = bene dicitur mihi, I am praised:

    bene dictis si certasset, audisset bene,

    Ter. Phorm. prol. 20; v. audio, 5.—
    e.
    To use words of good omen (euphêmein): Ol. Quid si fors aliter quam voles evenerit? St. Bene dice, dis sum fretus ( = fave lingua, melius ominare), Plaut. Cas. 2, 5, 38 heja, bene dicito, id. As. 3, 3, 155.—
    f.
    Bene dixisti, a formula of approbation: ne quan do iratus tu alio conferas. Th. Bene dixti, you are right, Ter. Eun. 3, 1, 61. bene et sapienter dixti dudum, etc., it was a good and wise remark of yours that, etc., id. Ad. 5, 8, 30.—
    g.
    Bene dicta, fine or specious, plausible words (opp. deeds):

    bene dictis tuis bene facta aures meae expostulant,

    Plaut. Pers. 4, 3, 25; so,

    bene loqui: male corde consultare, Bene lingua loqui,

    use fine words, Plaut. Truc. 2, 1, 16.—
    2.
    Bene facere.
    a.
    Bene aliquid facere, to do, make, something well, i. e. ably (v. I. A. 2. a. supra):

    vel non facere quod non op time possis, vel facere quod non pessime facias,

    Cic. Or. 2, 20, 86:

    non tamen haec quia possunt bene aliquando fieri passim facienda sunt,

    Quint. 4, 1, 70:

    Jovem Phidias optime fecit,

    id. 2, 3, 6; so, melius facere, Afran. ap. Macr. 6, 1.— P. a.:

    quid labor aut bene facta juvant?

    his labor and well-done works are no pleasure to him, Verg. G. 3, 525. —
    b.
    Bene facere, with dat. absol., with in and abl., or with erga, to do a good action, to benefit somebody, to impart benefits (less cor rectly as one word, benefacio)
    (α).
    With dat.:

    bonus bonis bene feceris,

    Plaut. Poen. 5, 4, 60:

    bene si amico feceris, ne pigeat fecisse,

    id. Trin. 2, 2, 66:

    malo bene facere tantumdem est periculum quantum bono male facere,

    id. Poen. 3, 3, 20:

    homini id quod tu facis bene,

    id. Ep 1, 2, 33:

    tibi lubens bene faxim,

    Ter. Ad. 5, 5, 6, 5, 6, 8; 5, 8, 25:

    at tibi di semper... faciant bene,

    may the gods bless you, Plaut. Men. 5, 7, 32:

    di tibi Bene faciant,

    Ter. Ad. 5, 7, 20; so Plaut. Pers. 4, 3, 18.— Pass.:

    quod bonis bene fit beneficium,

    Plaut. Capt. 2, 2, 108:

    pulchrum est bene facere reipublicae,

    Sall. C. 3, 1:

    ego ne ingratis quidem bene facere absistam,

    Liv. 36, 35, 4.—Reflexively. sibi bene facere, enjoy one ' s self, have a good time, genio indulgere (v. I. A. 2. e. supra): nec quisquam est tam ingenio duro quin, ubi quidquam occasionis sit sibi faciat bene, Plaut. As. grex 5.—
    (β).
    With in and abl.:

    quoniam bene quae in me fecerunt, ingrata ea habui,

    Plaut. Am. 1, 1, 30.—
    (γ).
    With erga:

    si quid amicum erga bene feci,

    Plaut. Trin. 5, 2, 4.—
    (δ).
    With ellipsis of dat., to impart benefits:

    ingrata atque irrita esse omnia intellego Quae dedi et quod bene feci,

    Plaut. As. 1, 2, 11:

    quod bene fecisti, referetur gratia,

    id. Capt. 5, 1, 20:

    ego quod bene feci, male feci,

    id. Ep. 1, 2, 34; id. Trin. 2, 2, 41:

    si beneficia in rebus, non in ipsa benefaciendi voluntate consisterent,

    Sen. Ben. 1, 7, 1:

    benefaciendi animus,

    id. ib. 2, 19, 1.—So esp. in formula of thanks, etc.' bene benigneque arbitror te facere, I thank you heartily, Plaut. Most. 3, 2, 129: Jup. Jam nunc irata non es? Alc. Non sum. Jup. Bene facis, id. Am. 3, 2, 56; v Brix ad Plaut. Trin. 384.—P. a. as subst.: bĕnĕ facta, orum, n., benefits, benefactions (cf. beneficium): bene facta male locata male facta arbitror, Enn. ap. Cic. Off. 2, 18, 62 (Trag. v 429 Vahl.): pol, bene facta tua me hortantur tuo ut imperio paream, Plaut Pers. 5, 2, 65: pro bene factis ejus uti ei pretium possim reddere. id. Capt. 5, 1, 20;

    bene facta referre,

    Claud. Laud. Stil. 3, 182 tenere, id. ib. 2, 42.—So freq. in eccl. writ ers:

    et si bene feceritis his qui vobis bene faciunt,

    Vulg. Luc. 6, 33:

    bene facite his qui oderunt vos,

    id. Matt. 5, 44.—
    (ε).
    Absol., to do good, perform meritorious acts (in fin. verb only eccl. Lat.)' discite bene facere, Vulg. Isa. 1, 17:

    interrogo vos si licet sabbatis bene facere an male,

    id. Luc. 6, 9:

    qui bene facit, ex Deo est,

    id. Joan. Ep. 3, 11.— In P a. (class.): bene facta (almost always in plur.), merits, meritorious acts, brave deeds:

    bene facta recte facta sunt,

    Cic. Par 3, 1, 22:

    omnia bene facta in luce se collocari volunt,

    id. Tusc. 2, 26, 64; id. Sen. 3, 9:

    bene facta mea reipublicae procedunt,

    Sall. J 85, 5, cf. id. C. 8, 5; id. H. Fragm. 1, 19: veteribus bene factis nova pensantes maleficia, Liv 37, 1, 2; cf. Quint. 3, 7, 13, 12, 1, 41; Prop. 2, 1, 24; Ov. M. 15, 850, Claud. VI. Cons. Hon. 386.— Sing.: bene factum a vobis, dum vivitis non abscedet, Cato ap. Gell. 16, 1, 4.—
    (ζ).
    In medical language, to be of good effect, benefit, do good:

    id bene faciet et alvum bonam faciet,

    Cato, R. R. 157, 6.—So with ad: ad capitis dolorem bene facit serpyllum, Scrib Comp. 1; so id. ib. 5; 9; 13; 41.—
    (η).
    In the phrase bene facis, etc., as a formula of thanks, v I A. 2. f. supra.—
    (θ).
    Expressing joy, I am glad of it, I am glad that etc. (comic.) Da. Tua quae fuit Palaestra, ea filia inventa'st mea. La. Bene meher cule factum'st, Plaut. Rud. 5, 3, 9: bis tanto valeo quam valui prius. Ly. Bene hercle factum et gaudeo, id. Merc. 2, 2, 27; Ter And. 5, 6, 11; id. Hec. 5, 4, 17; id. Eun. 5, 8, 7:

    bene factum et volup est hodie me his mulierculis Tetulisse auxilium,

    Plaut. Rud. 4, 1, 1; Ter. Hec. 3, 5, 11; so, bene factum gaudeo: nam hic noster pater est Ant. Ita me Juppiter bene amet, benefac tum gaudeo, Plaut. Poen. 5, 5, 47; Ter Phorm. 5, 6, 43; cf.: Me. Rex Creo vigiles nocturnos singulos semper locat. So. Bene facit, quia nos eramus peregri, tutatu'st domum, I am glad of it, etc., Plaut. Am. 1, 1, 19. bene fecit A. Silius qui transegerit: neque enim ei deesse volebam, et quid possem timebam, I am glad that A. Silius, etc., Cic. Att. 12, 24, 1.—
    3.
    With esse.
    a.
    Bene est, impers., it is well.
    (α).
    In the epistolary formula: si vales bene est; or, si vales bene est, (ego) valeo (abbrev. S.V.B.E.V.), Afran. ap Prisc. p 804 P; Cic. Fam. 5, 14, 1; 10, 34, 1; 4, 1, 1; cf. id. ib. 5, 7, 1; 5, 9, 1; 5, 10, 1; 10, 33, 1; 10, 14, 8; 10, 14, 11;

    14, 14, 1, 14, 14, 16: si valetis gaudeo,

    Plaut. Pers. 4, 3, 41 —These formulas were obsolete at Seneca's time: mos antiquis fuit, usque ad meam servatus aetatem, primis epistulae verbis adicere: Si vales, bene est;

    ego valeo,

    Sen. Ep. 15, 1.—
    (β).
    = bene factum est (cf. I. 2. k. supra): oculis quoque etiam plus jam video quam prius: Ly. Bene est, Plaut. Merc. 2, 2, 26: hic est intus filius apud nos tuus. De. Optume'st, id. ib. 5, 4, 49; Ter. Ad. 3, 3, 48, 5, 5, 3; id. Hec. 5, 4, 31.—
    b.
    Bene est alicui, impers., it is ( goes) well with one, one does well, is well off, enjoys himself, is happy: nam si curent, bene bonis sit, male malis, quod nunc abest, Enn ap. Cic. N. D. 3, 32, 79 (Trag. v. 355 Vahl.):

    bona si esse veis, bene erit tibi,

    Plaut. Merc. 3, 1, 12:

    quia illi, unde huc abvecta sum, malis bene esse solitum'st,

    id. ib. 3, 1, 13:

    qui neque tibi bene esse patere, et illis qui bus est invides,

    id. Ps. 4, 7, 35 (so id. Trin. 2, 2, 71): num quippiam aluit me vis? De. Ut bene sit tibi, id Pers. 4, 8, 5; id. Poen. 4, 2, 90; Ter Phorm. 1, 2, 101: nemini nimium bene est, Afran. ap. Charis. p. 185 P.:

    si non est, jurat bene solis esse maritis,

    Hor. Ep 1, 1, 88:

    nec tamen illis bene erit, quia non bono gaudent,

    Sen. Vit. Beat. 11, 4: BENE SIT NOBIS, Inscr Orell. 4754; Plaut. Truc. 2, 4, 95; 4, 2, 36; id. Curc. 4, 2, 31; id. Pers. 5, 2, 74; id. Stich. 5, 5, 12; id. Merc. 2, 2, 55; Ter. Ad. 1, 1, 9.— Comp.: istas minas decem, qui me procurem dum melius sit mi, des. Plaut. Curc. 4, 2, 40:

    spero ex tuis litteris tibi melius esse,

    that your health is better, Cic. Fam. 16, 22, 1; Plaut. Most. 3, 2, 1; Ter And. 2, 5, 16.—With dat. understood: patria est ubi cumque est bene (i. e. cuique), where one does well, there is his country, Poet. ap. Cic Tusc 5, 37, 108 (Trag. Rel. inc. p. 248 Rib). [p. 231] —With abl., to be well off in, to feast upon a thing:

    ubi illi bene sit ligno, aqua calida, cibo, vestimentis,

    Plaut. Cas. 2, 3, 39:

    at mihi bene erat, non piscibus, Sed pullo atque hoedo,

    Hor. S. 2, 2, 120.—
    c.
    Bene sum = bene mihi est:

    minore nusquam bene fui dispendio,

    Plaut. Men. 3, 2, 20:

    de eo (argento) nunc bene sunt tua virtute,

    id. Truc. 4, 2, 28: dato qui bene sit;

    ego ubi bene sit tibi locum lepidum dabo,

    id. Bacch. 1, 1, 51:

    scis bene esse si sit unde,

    id. Capt. 4, 2, 70.—
    4.
    Bene habere.
    a.
    With subj. nom.
    (α).
    To enjoy, Plaut. Ps. 4, 7, 35 al.; v. I. A. 2. e. supra.—
    (β).
    To be favorable, to favor:

    bene habent tibi principia,

    Ter. Phorm. 2, 3, 82. —
    (γ).
    With se, to be well, well off. imperator se bene habet, it is well with, Sen. Ep. 24, 9; cf.:

    si te bene habes,

    Plaut. Mil. 3, 1, 122 Brix ad loc.—
    b.
    Hoc bene habet, or bene habet, impers. ( = res se bene habet), it is well, matters stand well:

    bene habet: jacta sunt fundamenta defensionis,

    Cic. Mur. 6, 14:

    bene habet: di pium movere bellum,

    Liv. 8, 6, 4:

    atque bene habet si a collega litatum est,

    id. 8, 9, 1; Juv. 10, 72; Stat. Th. 11, 557.— So pers.: bene habemus nos, si in his spes est;

    opinor, aliud agamus,

    we are well off, Cic. Att. 2, 8, 1.—
    5.
    Bene agere, with cum and abl.
    (α).
    To treat one well:

    bene egissent Athenienses cum Miltiade si, etc.,

    Val. Max. 5, 3, ext. 3.—
    (β).
    Impers.: bene agitur cum aliquo, it goes well with one, he is fortunate:

    bene dicat secum esse actum,

    that he has come off well, Ter. Ad. 2, 2, 2:

    non tam bene cum rebus humanis agitur ut meliora pluribus placeant,

    Sen. Vit. Beat. 2, 1.— With ellipsis of cum and abl.:

    si hinc non abeo intestatus, bene agitur pro noxia (sc. mecum),

    Plaut. Mil. 5, 23.—
    6.
    Rem (negotium) bene gerere.
    (α).
    To administer well private or public affairs: multi suam rem bene gessere et publicam patria procul, Enn. ap. Cic. Fam. 7, 6, 1 (Trag. Rel. v. 295 Vahl.):

    non ut multis bene gestae, sed, ut nemini, conservatae rei publicae,

    Cic. Pis. 3, 6; so,

    qui ordo bene gestae rei publicae testimonium multis, mihi uni conservatae dedit,

    id. Phil. 2, 1, 2:

    rem publicam,

    id. Pis. 19, 45:

    Apollini republica vestra bene gesta servataque... donum mittitote,

    Liv. 23, 11, 3.—
    (β).
    To be successful, meet with success, acquit one ' s self well; usu. of war;

    also of private affairs: bello extincto, re bene gesta, vobis gratis habeo, etc.,

    Plaut. Pers. 5, 1, 2:

    quando bene gessi rem, volo hic in fano supplicare,

    id. Curc. 4, 2, 41;

    quasi re bene gesta,

    Ter. Ad. 5, 1, 13:

    rem te valde bene gessisse rumor erat,

    that you had met with great success, Cic. Fam. 1, 8, 7; id. Planc. 25, 61:

    conclamant omnes occasionem negotii bene gerendi amittendam non esse,

    Caes. B. G. 5, 57:

    haec cogitanti accidere visa est facultas bene rei gerendae,

    id. ib. 7, 44:

    res bello bene gestae,

    success in war, Liv. 23, 12, 11:

    laeti bene gestis corpora rebus Procurate,

    Verg. A. 9, 157; cf. Cic. Planc. 25, 61; Liv. 1, 37, 6; 4, 47, 1; 8, 30, 5; 22, 25, 4; 23, 36, 2.—
    7.
    Bene vertere, in wishes.
    (α).
    With the rel. quod or quae res as subject, to turn out well; absol. or with dat.:

    quae res tibi et gnatae tuae bene feliciterque vortat,

    Plaut. Aul. 4, 10, 58:

    quod utrisque bene vertat,

    Liv. 8, 5, 6:

    quod bene verteret,

    id. 3, 26, 9; cf. id. 3, 35, 8; 3, 62, 5; 7, 39, 10; v. verto; cf.:

    quod bene eveniat,

    Cato, R. R. 141.—
    (β).
    With di as subject:

    di bene vortant,

    may the gods let it turn out well, may the gods grant success, Plaut. Aul. 2, 3, 5; cf. Ter. Ad. 4, 7, 10; id. Hec. 1, 2, 121; id. Phorm. 3, 3, 19; v. verte.—
    8.
    Bene, colloquially in leave-taking: bene ambula, walk well, i. e. have a pleasant walk! Plaut. Most. 3, 2, 166: De. Bene ambulato! Ly. Bene vale! id. Merc 2, 2, 55:

    bene valete et vivite!

    id. Mil. 4, 8, 30:

    cives bene valete!

    id. Merc. 5, 2, 25; cf. id. Ep. 5, 1, 40; id. Merc. 2, 4, 28; 5, 4, 65; id. Curc. 4, 2, 30; Ter. Heaut. 1, 1, 115; id. Hec. 1, 2, 122:

    salvere jubeo te, mi Saturides, bene,

    Plaut. Most. 3, 1, 35: LAGGE, FILI, BENE QVIESCAS, Sepulch. Inscr. Orell. p. 4755.—
    9.
    In invocations to the gods, often redundant (cf. bonus):

    ita me Juppiter bene amet,

    Plaut. Poen. 5, 5, 47:

    di te bene ament, Hegio,

    id. Capt. 1, 2, 29:

    ita me di bene ament,

    Ter. Eun. 4, 1, 1; cf. id. ib. 5, 2, 43; id. Hec. 2, 1, 9; id. Phorm. 1, 3, 13:

    Jane pater uti te... bonas preces bene precatus siem,

    Cato, R. R. 134: bene sponsis, beneque volueris in precatione augurali Messala augur ait significare spoponderis, volueris, Fest. p. 351 Mull. (p. 267 Lind.).—
    10.
    Elliptical expressions.
    (α).
    Bene, melius, optime, instead of bene, etc., dicit, dicis, or facit, facis, etc.:

    bene Pericles (i.e. dixit),

    Cic. Off. 1,40, 144:

    bene (Philippus) ministrum et praebitorem,

    id. ib. 2, 14, 53:

    existimabatur bene, Latine (i. e. loqui),

    id. Brut. 74, 259; so id. Sen. 14, 47:

    at bene Areus,

    Quint. 2, 15, 36; cf. id. 10, 1, 56:

    nam ante Aristippus, et ille melius (i.e. hoc dixerat),

    Cic. Fin. 1, 8, 26:

    sed haec tu melius vel optime omnium (i.e. facies),

    id. Fam. 4, 13, 7; id. Fin. 1, 18, 61; 1, 19, 63; id. Off. 3, 11, 49; id. Sen. 20, 73; id. Opt. Gen. 6, 18; Quint. 10, 3, 25; 10, 2, 24; 6, 1, 3; 9, 4, 23.—
    (β).
    In applauding answers' bene and optime, good! bravo! excellent! euge, euge! Perbene! Plaut. Rud. 1, 2, 75: huc respice. Da. Optume! id. ib. 3, 4, 3; cf. id. Merc. 1, 2, 114; 5, 4, 16.—
    (γ).
    In drinking health, with acc. or dat., health to you, your health! bene vos! bene nos! bene te! bene me! bene nostram etiam Stephanium! Plaut. Stich. 5, 4, 27; Tib 2, 1, 31: bene te, pater optime Caesar, etc.; Ov. F. 2, 637:

    bene mihi, bene vobis, bene amicae meae!

    Plaut. Pers. 5, 1, 21; Ov.A.A. 1, 601.—
    11.
    Pregn., in ellipt. predicate: quod (imperium) si (ei) sui bene crediderint cives... credere et Latinos debere, if his own citizens did well to intrust the supreme power to him, etc., Liv. 1, 50, 5:

    in Velia aedificent quibus melius quam P. Valerio creditur libertas,

    to whom it will be safer to intrust liberty, id. 2, 7, 11:

    melius peribimus quam sine alteris vestrum viduae aut orbae vivemus,

    it will be better for us to perish, id. 1, 13, 3:

    bene Arruntium morte usum,

    that it was right for Arruntius to die, Tac. A. 6, 48; Liv. 2, 30, 6; Quint. 9, 4, 92; Tac. A. 2, 44.—
    II.
    Adv. of intensity, = valde, very, with adjj. and advv.
    1.
    With adjj.: bene tempestate serena, Enn. ap. Cic. Div. 2, 39, 82 (Ann. v. 517 Vahl.): foedus feri bene firmum, id. ap. Porphyr. ad Hor. C. 3, 24, 50 (Ann. v. 33 ib.); cf.:

    bene firmus,

    Cic. Fam. 16, 8, 1; id. Phil. 6, 7, 18:

    bene robustus,

    id. Div. in Caecil. 15, 48:

    bene morigerus fuit puer,

    Plaut. Capt. 5, 2, 13:

    bene ergo ego hinc praedatus ibo,

    id. Ps. 4, 7, 39:

    bene lautum,

    id. Rud. 3, 3, 39:

    bene et naviter oportet esse impudentem,

    Cic. Fam. 5, 12, 3:

    id utrum Romano more locutus sit, bene nummatum te futurum, an, etc.,

    id. ib. 7, 16, 3:

    bene sanos,

    id. Fin. 1, 16, 52; 1, 21, 71; Hor. S. 1, 3, 61; 1, 9, 44:

    bene longinquos dolores,

    Cic. Fin. 2, 29, 94:

    sermonem bene longum,

    id. Or. 2, 88, 361:

    bene magna caterva,

    id. Mur. 33, 69:

    magna multitudo,

    Hirt. B. Hisp. 4:

    barbatus,

    Cic. Cat. 2, 10, 22:

    fidum pectus,

    Hor. C. 2, 12, 15:

    cautus,

    Ov. H. 1, 44:

    multa,

    Ov. Tr. 1, 7, 15: multi, Pollio ap. Cic. Fam 10, 33, 4:

    homo optime dives,

    Sen. Vit. Beat. 23, 2.—
    2.
    With advv.: bene saepe libenter, Enn. Ann. ap. Gell. 12, 4, 4 (Ann. v. 239 Vahl.); cf.:

    bene libenter victitas,

    Ter. Eun. 5, 8, 44:

    bene mane haec scripsi,

    Cic. Att. 4, 9, 2; 4, 10, 16:

    bene penitus,

    id. Verr. 2, 2, 70, § 169:

    bene longe,

    Hirt. B. Hisp. 25:

    bene gnaviter,

    Sen. Ot. Sap. 1 (28), 5.—With adverb. phrase:

    siad te bene ante lucem venisset,

    Cic. Or. 2, 64, 259.

    Lewis & Short latin dictionary > bene

  • 11 bene facta

    bĕnĕ, adv. of manner and intensity [bonus; the first vowel assimilated to the e of the foll. syllable; cf. Corss. Ausspr. 2, 366], well ( comp. melius, better; sup. optime [v. bonus init. ], best; often to be rendered by more specific Engl. adverbs).
    I.
    As adjunct of verbs.
    A.
    In gen.
    1.
    Of physical or external goodness, usefulness, ornament, and comfort:

    villam rusticam bene aedificatam habere expedit,

    Cato, R. R. 3:

    villam bonam beneque aedificatam,

    Cic. Off. 3, 13, 55:

    quid est agrum bene colere? Bene arare,

    Cato, R. R. 61:

    agro bene culto nihil potest esse... uberius,

    Cic. Sen. 16, 57:

    ubi cocta erit bene,

    Cato, R. R. 157; 3; 4;

    32 et saep.: te auratam et vestitam bene,

    Plaut. Men. 5, 2, 50: ornatus hic satis me condecet? Ps. Optume, it is very becoming, id. Ps. 4, 1, 26:

    me bene curata cute vises,

    well tended, Hor. Ep. 1, 4, 15:

    bene olere,

    Verg. E. 2, 48:

    bene sonare,

    Quint. 8, 3, 16:

    neque tamen non inprimis bene habitavit,

    in the very best style, Nep. Att. 13, 1:

    a Catone cum quaereretur, quid maxime in re familiari expediret, respondet Bene pascere? Quid secundum? Satis bene pascere,

    Cic. Off. 2, 25, 89: so,

    bene cenare,

    Cat. 13, 17; Hor. Ep. 1, 6, 56:

    bene de rebus domesticis constitutum esse,

    to be in good circumstances, Cic. Sest. 45, 97;

    similarly: rem (i. e. familiarem) bene paratam comitate perdidit,

    well arranged, Plaut. Rud. prol. 38.—
    2.
    With respect to the mind.
    a.
    Perception, knowledge, ability:

    quas tam bene noverat quam paedagogos nostros novimus,

    Sen. Ep. 27, 5:

    quin melius novi quam te et vidi saepius,

    Plaut. Capt. 5, 2, 22:

    novi optime (Bacchus) et saepe vidi,

    Cic. Fam. 7, 23, 2:

    qui optime suos nosse deberet,

    Nep. Con. 4, 1; cf. Hor. Ep. 1, 18, 1; id. S. 1, 9, 22: satin' haec meministi et tenes? Pa. Melius quam tu qui docuisti, Plaut. Pers. 2, 2, 2:

    quod eo mihi melius cernere videor quo ab eo proprius absum,

    Cic. Sen. 21, 77:

    ut hic melius quam ipse illa scire videatur,

    id. de Or. 1, 15, 66; id. Or. 38, 132:

    cum Sophocles vel optime scripserit Electram suam,

    id. Fin. 1, 2, 5:

    gubernatoris ars quia bene navigandi rationem habet,

    of able seamanship, id. ib. 1, 13, 42:

    melius in Volscis imperatum est,

    better generalship was displayed, Liv. 2, 63, 6:

    nihil melius quam omnis mundus administratur,

    Cic. Inv. 1, 34, 59: de medico bene existimari scribis, that he is well thought ( spoken) of, i. e. his ability, id. Fam. 16, 14, 1:

    prudentibus et bene institutis,

    well educated, id. Sen. 14, 50:

    sapientibus et bene natura constitutis,

    endowed with good natural talent, id. Sest. 65, 137:

    quodsi melius geruntur ea quae consilio geruntur quam, etc.,

    more ably, id. Inv. 1, 34, 59:

    tabulas bene pictas collocare in bono lumine,

    good paintings, id. Brut. 75, 261:

    canere melius,

    Verg. E. 9, 67; Quint. 10, 1, 91:

    bene pronuntiare,

    id. 11, 3, 12:

    bene respondere interrogationibus,

    id. 5, 7, 28; 6, 3, 81.—
    b.
    Of feeling, judgment, and will:

    similis in utroque nostrum, cum optime sentiremus, error fuit,

    when we had the best intentions, Cic. Fam. 4, 2, 3; so id. ib. 6, 4, 2; so,

    bene sentire,

    id. ib. 6, 1, 3; so,

    bene, optime de re publica sentire,

    to hold sound views on public affairs, id. Off. 1, 41, 149; id. Fam. 4, 14, 1; id. Phil. 3, 9, 23:

    bene animatas eas (insulas) confirmavit,

    well disposed, Nep. Cim. 2, 4:

    ei causae quam Pompeius animatus melius quam paratus susceperat,

    Cic. Fam. 6, 6, 10; so, optime animati, Varr. ap. Non. p. 201, 7:

    quod bene cogitasti aliquando, laudo,

    that you had good intentions, Cic. Phil. 2, 14, 34:

    se vero bene sperare (i. e. de bello),

    had good hopes, Liv. 6, 6, 18:

    sperabis omnia optime,

    Cic. Fam. 4, 13, 7:

    tibi bene ex animo volo,

    Ter. Heaut. 5, 2, 6; so freq.: bene alicui velle, v. volo: bene aliquid consulere, to plan something well:

    vigilando, agendo, bene consulendo prospera omnia cedunt,

    Sall. C. 52, 29:

    omnia non bene consulta,

    id. J. 92, 2. —
    c.
    Of morality, honesty, honor, etc.
    (α).
    Bene vivere, or bene beateque vivere ( = kalôs kagathôs), to lead a moral and happy life:

    qui virtutem habeat, eum nullius rei ad bene vivendum indigere,

    Cic. Inv. 1, 51, 93:

    in dialectica vestra nullam esse ad melius vivendum vim,

    id. Fin. 1, 19, 63:

    quod ni ita accideret et melius et prudentius viveretur,

    id. Sen. 19, 67; cf. id. Ac. 1, 4, 15; id. Fin. 1, 13, 45; id. Off. 1, 6, 19; id. Fam. 4, 3, 3 et saep. (for another meaning of bene vivere, cf. e. infra).—
    (β).
    Bene mori, to die honorably, bravely, creditably, gloriously:

    qui se bene mori quam turpiter vivere maluit,

    Liv. 22, 50, 7:

    ne ferrum quidem ad bene moriendum oblaturus est hostis,

    id. 9, 3, 3; so id. 21, 42, 4:

    tum potui, Medea, mori bene,

    Ov. H. 12, 5.—
    (γ).
    Bene partum, what is honestly, honorably earned or acquired:

    multa bona bene parta habemus,

    Plaut. Trin. 2, 2, 65:

    mei patris bene parta indiligenter Tutatur,

    Ter. Phorm. 5, 3, 5:

    res familiaris primum bene parta sit, nullo neque turpi quaestu, neque odioso,

    Cic. Off. 1, 26, 92:

    diutine uti bene licet partum bene,

    Plaut. Rud. 4, 7, 15; Sall. C. 51, 42 (cf.:

    mala parta,

    Cic. Phil. 2, 27, 65:

    male par tum,

    Plaut. Poen. 4, 2, 22).—
    (δ).
    Apud bonos bene agier, an old legal formula: bona fide agi (v. bonus), to be transacted in good faith among good men. ubi erit illa formula fiduciae ut inter bonos bene agier oportet? Cic. Fam. 7, 12, 2; id. Off. 3, 15, 61; 3, 17, 70.—
    (ε).
    Non bene = male, not faithfully:

    esse metus coepit ne jura jugalia conjunx Non bene servasset,

    Ov. M. 7, 716.—
    d.
    Representing an action as right or correct, well, rightly, correctly: bene mones, Ibo, you are right ( to admonish me), Ter. And. 2, 2, 36:

    sequi recusarunt bene monentem,

    Liv. 22, 60, 17:

    quom mihi et bene praecipitis, et, etc.,

    since you give sound advice, Plaut. Poen. 3, 2, 55; so Ter. Ad. 5, 9, 6; 3, 3, 80; Lucil. ap. Non. p. 372, 7:

    bene enim majores accubitionem epularem amicorum convivium nominarunt, melius quam Graeci,

    Cic. Sen. 13, 45:

    hoc bene censuit Scaevola,

    correctly, Dig. 17, 1, 48.—
    e.
    Pleasantly, satisfactorily, profitably, prosperously, fortunately, successfully:

    nunc bene vivo et fortunate atque ut volo atque animo ut lubet,

    Plaut. Mil. 3, 1, 111:

    nihil adferrent quo jucundius, id est melius, viveremus,

    Cic. Fin. 1, 41, 72:

    si bene qui cenat, bene vivit,

    Hor. Ep. 1, 6, 56: quamobrem melius apud bonos quam apud fortunatos beneficium collocari puto, is better or more profitably invested, Cic. Off. 2, 20, 71:

    perdenda sunt multa beneficia ut semel ponas bene, Sen. Ben. poet. 1, 2, 1: etiamsi nullum (beneficium) bene positurus sit,

    id. ib. 1, 2, 2:

    quando hoc bene successit,

    Ter. Ad. 2, 4, 23: bene ambulatum'st? Di. Huc quidem, hercle, ad te bene, Quia tui vivendi copia'st, has your walk been pleasant? Plaut. Truc. 2, 4, 18:

    melius ominare,

    use words of better omen, id. Rud. 2, 3, 7; Cic. Brut. 96, 329:

    qui se suamque aetatem bene curant,

    Plaut. Ps. 4, 7, 36.—So, bene (se) habere: ut bene me haberem filiai nuptiis, have a good time at, etc., Plaut. Aul. 2, 8, 2:

    qui se bene habet suisque amicis usui est,

    who enjoys his life and is a boon companion, id. Mil. 3, 1, 128:

    nam hanc bene se habere aetatem nimio'st aequius,

    id. Merc. 3, 2, 6: bene consulere alicui, to take good care for somebody ' s interests:

    tuae rei bene consulere cupio,

    id. Trin. 3, 2, 9:

    ut qui mihi consultum optume velit esse,

    Ter. Phorm. 1, 3, 1:

    me optime consulentem saluti suae,

    Cic. Fam. 4, 14, 2:

    qui se ad sapientes viros bene consulentes rei publicae contulerunt,

    id. Off. 2, 13, 46.—So, bene mereri, and rarely bene merere, to deserve well of one, i. e. act for his advantage; absol. or with de:

    addecet Bene me, renti bene referre gratiam,

    Plaut. Rud. 5, 3, 36:

    Licinii aps te bene merenti male refertur gratia?

    id. Ps. 1, 3, 86:

    ut memorem in bene meritos animum praestarem,

    Cic. Fam. 1, 9, 10:

    cogor nonnumquam homines non optime de me meritos rogatu eorum qui bene meriti sunt, defendere,

    id. ib. 7, 1, 4:

    tam bene meritis de nomine Punico militibus,

    Liv. 23, 12, 5:

    si bene quid de te merui,

    Verg. A. 4, 317; cf. Cic. Opt. Gen. 7, 20; id. Sest. 1, 2; 12, 39; 66, 139; 68, 142; id. Mil. 36, 99; id. Phil. 2, 14, 36 et saep.; v. mereo, D. and P. a.—So esp. referring to price: bene emere, to buy advantageously, i. e. cheaply; bene vendere, to sell advantageously, i. e. at a high price: bene ego hercle vendidi te, Plaut. [p. 230] Durc. 4, 2, 34:

    et quoniam vendat, velle quam optime vendere,

    Cic. Off. 3, 12, 51:

    ita nec ut emat melius, nec ut vendat quidquam, simulabit vir bonus,

    id. ib. 3, 15, 61: vin' bene emere? Do. Vin' tu pulcre vendere? Plaut. Pers. 4, 4, 38:

    melius emetur,

    Cato, R. R. 1: quo melius emptum sciatis, Cic. ap. Suet. Caes. 50 fin.:

    qui vita bene credat emi honorem,

    cheaply, Verg. A. 9, 206; Sil 4, 756.—
    f.
    Expressing kindness, thanks, etc.: bene facis, bene vocas, bene narras, I thank you, am obliged to you for doing, calling, saying (colloq.): merito amo te. Ph. Bene facis, thanks! Ter Eun. 1, 2, 106; cf.:

    in consuetudinem venit, bene facis et fecisti non mdicantis esse, sed gratias agentis, Don. ad loc.' placet, bene facitis,

    Plaut. Rud. 3, 6, 43: dividuom talentum faciam. La. Bene facis, id. ib. 5, 3, 52: si quid erit dubium, immutabo Da. Bene fecisti, id. Ep. 5, 1, 40 Lo. Adeas, si velis. La. Bene hercle factum vobis habeo gratiam. Accedam propius, id. Rud. 3, 6, 2; Ter. Ad. 4, 3, 10.—With gratiam habere: bene fecisti;

    gratiam habeo maximam,

    Ter. Eun. 5, 8, 61; cf.

    bene benigneque arbitror te facere,

    Plaut. Most. 3, 2, 130: quin etiam Graecis licebit utare cum voles... Bene sane facis, sed enitar ut Latine loquar, I thank you for the permission, but, etc., Cic. Ac. 1, 7, 25: an exitum Cassi Maelique expectem? Bene facitis quod abominamini... sed, etc., I am much obliged to you for abhorring this, but, etc., Liv. 6, 18, 9: bene edepol narras; nam illi faveo virgini, thanks for telling me, for, etc., Ter. Eun. 5, 3, 7 (cf.:

    male hercule narras,

    I owe you little thanks for saying so, Cic. Tusc. 1, 6, 10):

    bene, ita me di ament, nuntias,

    Ter. Hec. 4, 4, 20:

    benenarras,

    Cic. Att. 16, 14, 4; 13, 33, 2: tu ad matrem adi. Bene vocas; benigne dicis Cras apud te, thanks for your invitation, but, etc., Plaut. Merc. 5, 2, 108: eamus intro ut prandeamus. Men. Bene vocas, tam gratia'st, id. Men. 2, 3, 41.—
    g.
    Of accuracy, etc., well, accurately, truly, completely:

    cum ceterae partes aetatis bene descriptae sint,

    Cic. Sen. 2, 5:

    cui bene librato... Obstitit ramus,

    Ov. M. 8, 409:

    at bene si quaeras,

    id. ib. 3, 141:

    tibi comprimam linguam. Hau potes: Bene pudiceque adservatur,

    Plaut. Am. 1, 1, 196:

    bene dissimulare amorem,

    entirely, Ter. And. 1, 1, 105:

    quis enim bene celat amorem?

    Ov. H. 12, 37.—So with a negation, = male restat parvam quod non bene compleat urnam, Ov. M. 12, 615: non bene conveniunt... Majestas et amor, id. ib 2, 846.—Redundant, with vix (Ovid.):

    vix bene Castalio descenderat antro, Incustoditam lente videt ire juvencam ( = vix descenderat cum, etc.),

    Ov. M. 3, 14:

    tactum vix bene limen erat, Aesonides, dixi, quid agit meus?

    id. H. 6, 24:

    vix bene desieram, rettulit illa mihi,

    id. F 5, 277.—
    h.
    Sup., most opportunely, at the nick of time (comic):

    sed eccum meum gnatum optume video,

    Plaut. Merc. 2, 2, 57:

    sed optume eccum exit senex,

    id. Rud. 3, 3, 44. optume adveniens, puere, cape Chlamydem, etc., id. Merc. 5, 2, 69: Davum optume Video, Ter And. 2, 1, 35; 4, 2, 3; Plaut. Rud. 3, 5, 25; 4, 5, 19; Ter. Eun. 5, 2, 66; id. Heaut. 4, 5, 9; 5, 5, 2.—
    i.
    Pregn.: bene polliceri = large polliceri, to make liberal promises ' praecepit ut ceteros adeant, bene polliceantur, Sall. C. 41, 5; cf.: bene promittere, to promise success:

    quae autem inconstantia deorum ut primis minentur extis, bene promittant secundis?

    Cic. Div. 2, 17, 38.—
    B.
    In partic.
    1.
    Bene dicere.
    a.
    To speak well, i. e. eloquently:

    qui optime dicunt,

    the most eloquent, Cic. de Or. 1, 26, 119; 2, 2, 5:

    etiam bene dicere haud absurdum est,

    Sall. C. 3, 1:

    abunde dixit bene quisquis rei satisfecit,

    Quint. 12, 9, 7;

    cf: bene loqui,

    to use good language, speak good Latin, Cic. Brut. 58, 212, 64, 228.—
    b.
    To speak ably:

    multo oratorem melius quam ipsos illos quorum eae sint artes esse dicturum,

    Cic. Or. 1, 15, 65; cf. Hor. Ep. 1, 2, 4. bene dicendi scientia, Quint. 7, 3, 12.—
    c.
    To speak correctly or elegantly:

    eum et Attice dicere et optime, ut..bene dicere id sit, Attice dicere,

    Cic. Opt. Gen. 4, 13 ' optime dicta, Quint. 10, 1, 19.—So, bene loqui:

    ut esset perfecta illa bene loquendi laus,

    Cic. Brut. 72, 252:

    at loquitur pulchre. Num melius quam Plato?

    id. Opt. Gen. 5, 16.—
    d.
    To speak well, i e. kindly, of one, to praise him; absol. or with dat., or reflex., with inter (less correctly as one word, benedicere): cui bene dixit umquam bono? Of what good man has he ever spoken well, or, what good man has he ever praised, Cic. Sest. 52, 110. bene, quaeso, inter vos dicatis, et amice absenti tamen, Plaut. Mil. 4, 8, 31.—Ironically:

    bene equidem tibi dico qui te digna ut eveniant precor,

    Plaut. Rud. 3, 2, 26:

    nec tibi cessaret doctus bene dicere lector,

    Ov. Tr. 5, 9, 9: cui a viris bonis bene dicatur, Metell. Numid. ap. Gell. 6, 11, 3.— And dat understood:

    si bene dicatis (i. e. mihi) vostra ripa vos sequar,

    Plaut. Poen. 3, 3, 18 ' omnes bene dicunt (ei), et amant (eum), Ter. Ad. 5, 4, 11:

    ad bene dicendum (i e. alteri) delectandumque redacti,

    Hor. Ep 2, 1, 155 —Part. ' indignis si male dicitur, male dictum id esse duco;

    Verum si dignis dicitur, bene dictum'st,

    is a praise, Plaut. Curc. 4, 2, 27 sq.: nec bene nec male dicta profuerunt ad confirmandos animos, Liv 23, 46, 1; cf. Ter. Phorm. prol. 20 infra. —Bene audio = bene dicitur mihi, I am praised:

    bene dictis si certasset, audisset bene,

    Ter. Phorm. prol. 20; v. audio, 5.—
    e.
    To use words of good omen (euphêmein): Ol. Quid si fors aliter quam voles evenerit? St. Bene dice, dis sum fretus ( = fave lingua, melius ominare), Plaut. Cas. 2, 5, 38 heja, bene dicito, id. As. 3, 3, 155.—
    f.
    Bene dixisti, a formula of approbation: ne quan do iratus tu alio conferas. Th. Bene dixti, you are right, Ter. Eun. 3, 1, 61. bene et sapienter dixti dudum, etc., it was a good and wise remark of yours that, etc., id. Ad. 5, 8, 30.—
    g.
    Bene dicta, fine or specious, plausible words (opp. deeds):

    bene dictis tuis bene facta aures meae expostulant,

    Plaut. Pers. 4, 3, 25; so,

    bene loqui: male corde consultare, Bene lingua loqui,

    use fine words, Plaut. Truc. 2, 1, 16.—
    2.
    Bene facere.
    a.
    Bene aliquid facere, to do, make, something well, i. e. ably (v. I. A. 2. a. supra):

    vel non facere quod non op time possis, vel facere quod non pessime facias,

    Cic. Or. 2, 20, 86:

    non tamen haec quia possunt bene aliquando fieri passim facienda sunt,

    Quint. 4, 1, 70:

    Jovem Phidias optime fecit,

    id. 2, 3, 6; so, melius facere, Afran. ap. Macr. 6, 1.— P. a.:

    quid labor aut bene facta juvant?

    his labor and well-done works are no pleasure to him, Verg. G. 3, 525. —
    b.
    Bene facere, with dat. absol., with in and abl., or with erga, to do a good action, to benefit somebody, to impart benefits (less cor rectly as one word, benefacio)
    (α).
    With dat.:

    bonus bonis bene feceris,

    Plaut. Poen. 5, 4, 60:

    bene si amico feceris, ne pigeat fecisse,

    id. Trin. 2, 2, 66:

    malo bene facere tantumdem est periculum quantum bono male facere,

    id. Poen. 3, 3, 20:

    homini id quod tu facis bene,

    id. Ep 1, 2, 33:

    tibi lubens bene faxim,

    Ter. Ad. 5, 5, 6, 5, 6, 8; 5, 8, 25:

    at tibi di semper... faciant bene,

    may the gods bless you, Plaut. Men. 5, 7, 32:

    di tibi Bene faciant,

    Ter. Ad. 5, 7, 20; so Plaut. Pers. 4, 3, 18.— Pass.:

    quod bonis bene fit beneficium,

    Plaut. Capt. 2, 2, 108:

    pulchrum est bene facere reipublicae,

    Sall. C. 3, 1:

    ego ne ingratis quidem bene facere absistam,

    Liv. 36, 35, 4.—Reflexively. sibi bene facere, enjoy one ' s self, have a good time, genio indulgere (v. I. A. 2. e. supra): nec quisquam est tam ingenio duro quin, ubi quidquam occasionis sit sibi faciat bene, Plaut. As. grex 5.—
    (β).
    With in and abl.:

    quoniam bene quae in me fecerunt, ingrata ea habui,

    Plaut. Am. 1, 1, 30.—
    (γ).
    With erga:

    si quid amicum erga bene feci,

    Plaut. Trin. 5, 2, 4.—
    (δ).
    With ellipsis of dat., to impart benefits:

    ingrata atque irrita esse omnia intellego Quae dedi et quod bene feci,

    Plaut. As. 1, 2, 11:

    quod bene fecisti, referetur gratia,

    id. Capt. 5, 1, 20:

    ego quod bene feci, male feci,

    id. Ep. 1, 2, 34; id. Trin. 2, 2, 41:

    si beneficia in rebus, non in ipsa benefaciendi voluntate consisterent,

    Sen. Ben. 1, 7, 1:

    benefaciendi animus,

    id. ib. 2, 19, 1.—So esp. in formula of thanks, etc.' bene benigneque arbitror te facere, I thank you heartily, Plaut. Most. 3, 2, 129: Jup. Jam nunc irata non es? Alc. Non sum. Jup. Bene facis, id. Am. 3, 2, 56; v Brix ad Plaut. Trin. 384.—P. a. as subst.: bĕnĕ facta, orum, n., benefits, benefactions (cf. beneficium): bene facta male locata male facta arbitror, Enn. ap. Cic. Off. 2, 18, 62 (Trag. v 429 Vahl.): pol, bene facta tua me hortantur tuo ut imperio paream, Plaut Pers. 5, 2, 65: pro bene factis ejus uti ei pretium possim reddere. id. Capt. 5, 1, 20;

    bene facta referre,

    Claud. Laud. Stil. 3, 182 tenere, id. ib. 2, 42.—So freq. in eccl. writ ers:

    et si bene feceritis his qui vobis bene faciunt,

    Vulg. Luc. 6, 33:

    bene facite his qui oderunt vos,

    id. Matt. 5, 44.—
    (ε).
    Absol., to do good, perform meritorious acts (in fin. verb only eccl. Lat.)' discite bene facere, Vulg. Isa. 1, 17:

    interrogo vos si licet sabbatis bene facere an male,

    id. Luc. 6, 9:

    qui bene facit, ex Deo est,

    id. Joan. Ep. 3, 11.— In P a. (class.): bene facta (almost always in plur.), merits, meritorious acts, brave deeds:

    bene facta recte facta sunt,

    Cic. Par 3, 1, 22:

    omnia bene facta in luce se collocari volunt,

    id. Tusc. 2, 26, 64; id. Sen. 3, 9:

    bene facta mea reipublicae procedunt,

    Sall. J 85, 5, cf. id. C. 8, 5; id. H. Fragm. 1, 19: veteribus bene factis nova pensantes maleficia, Liv 37, 1, 2; cf. Quint. 3, 7, 13, 12, 1, 41; Prop. 2, 1, 24; Ov. M. 15, 850, Claud. VI. Cons. Hon. 386.— Sing.: bene factum a vobis, dum vivitis non abscedet, Cato ap. Gell. 16, 1, 4.—
    (ζ).
    In medical language, to be of good effect, benefit, do good:

    id bene faciet et alvum bonam faciet,

    Cato, R. R. 157, 6.—So with ad: ad capitis dolorem bene facit serpyllum, Scrib Comp. 1; so id. ib. 5; 9; 13; 41.—
    (η).
    In the phrase bene facis, etc., as a formula of thanks, v I A. 2. f. supra.—
    (θ).
    Expressing joy, I am glad of it, I am glad that etc. (comic.) Da. Tua quae fuit Palaestra, ea filia inventa'st mea. La. Bene meher cule factum'st, Plaut. Rud. 5, 3, 9: bis tanto valeo quam valui prius. Ly. Bene hercle factum et gaudeo, id. Merc. 2, 2, 27; Ter And. 5, 6, 11; id. Hec. 5, 4, 17; id. Eun. 5, 8, 7:

    bene factum et volup est hodie me his mulierculis Tetulisse auxilium,

    Plaut. Rud. 4, 1, 1; Ter. Hec. 3, 5, 11; so, bene factum gaudeo: nam hic noster pater est Ant. Ita me Juppiter bene amet, benefac tum gaudeo, Plaut. Poen. 5, 5, 47; Ter Phorm. 5, 6, 43; cf.: Me. Rex Creo vigiles nocturnos singulos semper locat. So. Bene facit, quia nos eramus peregri, tutatu'st domum, I am glad of it, etc., Plaut. Am. 1, 1, 19. bene fecit A. Silius qui transegerit: neque enim ei deesse volebam, et quid possem timebam, I am glad that A. Silius, etc., Cic. Att. 12, 24, 1.—
    3.
    With esse.
    a.
    Bene est, impers., it is well.
    (α).
    In the epistolary formula: si vales bene est; or, si vales bene est, (ego) valeo (abbrev. S.V.B.E.V.), Afran. ap Prisc. p 804 P; Cic. Fam. 5, 14, 1; 10, 34, 1; 4, 1, 1; cf. id. ib. 5, 7, 1; 5, 9, 1; 5, 10, 1; 10, 33, 1; 10, 14, 8; 10, 14, 11;

    14, 14, 1, 14, 14, 16: si valetis gaudeo,

    Plaut. Pers. 4, 3, 41 —These formulas were obsolete at Seneca's time: mos antiquis fuit, usque ad meam servatus aetatem, primis epistulae verbis adicere: Si vales, bene est;

    ego valeo,

    Sen. Ep. 15, 1.—
    (β).
    = bene factum est (cf. I. 2. k. supra): oculis quoque etiam plus jam video quam prius: Ly. Bene est, Plaut. Merc. 2, 2, 26: hic est intus filius apud nos tuus. De. Optume'st, id. ib. 5, 4, 49; Ter. Ad. 3, 3, 48, 5, 5, 3; id. Hec. 5, 4, 31.—
    b.
    Bene est alicui, impers., it is ( goes) well with one, one does well, is well off, enjoys himself, is happy: nam si curent, bene bonis sit, male malis, quod nunc abest, Enn ap. Cic. N. D. 3, 32, 79 (Trag. v. 355 Vahl.):

    bona si esse veis, bene erit tibi,

    Plaut. Merc. 3, 1, 12:

    quia illi, unde huc abvecta sum, malis bene esse solitum'st,

    id. ib. 3, 1, 13:

    qui neque tibi bene esse patere, et illis qui bus est invides,

    id. Ps. 4, 7, 35 (so id. Trin. 2, 2, 71): num quippiam aluit me vis? De. Ut bene sit tibi, id Pers. 4, 8, 5; id. Poen. 4, 2, 90; Ter Phorm. 1, 2, 101: nemini nimium bene est, Afran. ap. Charis. p. 185 P.:

    si non est, jurat bene solis esse maritis,

    Hor. Ep 1, 1, 88:

    nec tamen illis bene erit, quia non bono gaudent,

    Sen. Vit. Beat. 11, 4: BENE SIT NOBIS, Inscr Orell. 4754; Plaut. Truc. 2, 4, 95; 4, 2, 36; id. Curc. 4, 2, 31; id. Pers. 5, 2, 74; id. Stich. 5, 5, 12; id. Merc. 2, 2, 55; Ter. Ad. 1, 1, 9.— Comp.: istas minas decem, qui me procurem dum melius sit mi, des. Plaut. Curc. 4, 2, 40:

    spero ex tuis litteris tibi melius esse,

    that your health is better, Cic. Fam. 16, 22, 1; Plaut. Most. 3, 2, 1; Ter And. 2, 5, 16.—With dat. understood: patria est ubi cumque est bene (i. e. cuique), where one does well, there is his country, Poet. ap. Cic Tusc 5, 37, 108 (Trag. Rel. inc. p. 248 Rib). [p. 231] —With abl., to be well off in, to feast upon a thing:

    ubi illi bene sit ligno, aqua calida, cibo, vestimentis,

    Plaut. Cas. 2, 3, 39:

    at mihi bene erat, non piscibus, Sed pullo atque hoedo,

    Hor. S. 2, 2, 120.—
    c.
    Bene sum = bene mihi est:

    minore nusquam bene fui dispendio,

    Plaut. Men. 3, 2, 20:

    de eo (argento) nunc bene sunt tua virtute,

    id. Truc. 4, 2, 28: dato qui bene sit;

    ego ubi bene sit tibi locum lepidum dabo,

    id. Bacch. 1, 1, 51:

    scis bene esse si sit unde,

    id. Capt. 4, 2, 70.—
    4.
    Bene habere.
    a.
    With subj. nom.
    (α).
    To enjoy, Plaut. Ps. 4, 7, 35 al.; v. I. A. 2. e. supra.—
    (β).
    To be favorable, to favor:

    bene habent tibi principia,

    Ter. Phorm. 2, 3, 82. —
    (γ).
    With se, to be well, well off. imperator se bene habet, it is well with, Sen. Ep. 24, 9; cf.:

    si te bene habes,

    Plaut. Mil. 3, 1, 122 Brix ad loc.—
    b.
    Hoc bene habet, or bene habet, impers. ( = res se bene habet), it is well, matters stand well:

    bene habet: jacta sunt fundamenta defensionis,

    Cic. Mur. 6, 14:

    bene habet: di pium movere bellum,

    Liv. 8, 6, 4:

    atque bene habet si a collega litatum est,

    id. 8, 9, 1; Juv. 10, 72; Stat. Th. 11, 557.— So pers.: bene habemus nos, si in his spes est;

    opinor, aliud agamus,

    we are well off, Cic. Att. 2, 8, 1.—
    5.
    Bene agere, with cum and abl.
    (α).
    To treat one well:

    bene egissent Athenienses cum Miltiade si, etc.,

    Val. Max. 5, 3, ext. 3.—
    (β).
    Impers.: bene agitur cum aliquo, it goes well with one, he is fortunate:

    bene dicat secum esse actum,

    that he has come off well, Ter. Ad. 2, 2, 2:

    non tam bene cum rebus humanis agitur ut meliora pluribus placeant,

    Sen. Vit. Beat. 2, 1.— With ellipsis of cum and abl.:

    si hinc non abeo intestatus, bene agitur pro noxia (sc. mecum),

    Plaut. Mil. 5, 23.—
    6.
    Rem (negotium) bene gerere.
    (α).
    To administer well private or public affairs: multi suam rem bene gessere et publicam patria procul, Enn. ap. Cic. Fam. 7, 6, 1 (Trag. Rel. v. 295 Vahl.):

    non ut multis bene gestae, sed, ut nemini, conservatae rei publicae,

    Cic. Pis. 3, 6; so,

    qui ordo bene gestae rei publicae testimonium multis, mihi uni conservatae dedit,

    id. Phil. 2, 1, 2:

    rem publicam,

    id. Pis. 19, 45:

    Apollini republica vestra bene gesta servataque... donum mittitote,

    Liv. 23, 11, 3.—
    (β).
    To be successful, meet with success, acquit one ' s self well; usu. of war;

    also of private affairs: bello extincto, re bene gesta, vobis gratis habeo, etc.,

    Plaut. Pers. 5, 1, 2:

    quando bene gessi rem, volo hic in fano supplicare,

    id. Curc. 4, 2, 41;

    quasi re bene gesta,

    Ter. Ad. 5, 1, 13:

    rem te valde bene gessisse rumor erat,

    that you had met with great success, Cic. Fam. 1, 8, 7; id. Planc. 25, 61:

    conclamant omnes occasionem negotii bene gerendi amittendam non esse,

    Caes. B. G. 5, 57:

    haec cogitanti accidere visa est facultas bene rei gerendae,

    id. ib. 7, 44:

    res bello bene gestae,

    success in war, Liv. 23, 12, 11:

    laeti bene gestis corpora rebus Procurate,

    Verg. A. 9, 157; cf. Cic. Planc. 25, 61; Liv. 1, 37, 6; 4, 47, 1; 8, 30, 5; 22, 25, 4; 23, 36, 2.—
    7.
    Bene vertere, in wishes.
    (α).
    With the rel. quod or quae res as subject, to turn out well; absol. or with dat.:

    quae res tibi et gnatae tuae bene feliciterque vortat,

    Plaut. Aul. 4, 10, 58:

    quod utrisque bene vertat,

    Liv. 8, 5, 6:

    quod bene verteret,

    id. 3, 26, 9; cf. id. 3, 35, 8; 3, 62, 5; 7, 39, 10; v. verto; cf.:

    quod bene eveniat,

    Cato, R. R. 141.—
    (β).
    With di as subject:

    di bene vortant,

    may the gods let it turn out well, may the gods grant success, Plaut. Aul. 2, 3, 5; cf. Ter. Ad. 4, 7, 10; id. Hec. 1, 2, 121; id. Phorm. 3, 3, 19; v. verte.—
    8.
    Bene, colloquially in leave-taking: bene ambula, walk well, i. e. have a pleasant walk! Plaut. Most. 3, 2, 166: De. Bene ambulato! Ly. Bene vale! id. Merc 2, 2, 55:

    bene valete et vivite!

    id. Mil. 4, 8, 30:

    cives bene valete!

    id. Merc. 5, 2, 25; cf. id. Ep. 5, 1, 40; id. Merc. 2, 4, 28; 5, 4, 65; id. Curc. 4, 2, 30; Ter. Heaut. 1, 1, 115; id. Hec. 1, 2, 122:

    salvere jubeo te, mi Saturides, bene,

    Plaut. Most. 3, 1, 35: LAGGE, FILI, BENE QVIESCAS, Sepulch. Inscr. Orell. p. 4755.—
    9.
    In invocations to the gods, often redundant (cf. bonus):

    ita me Juppiter bene amet,

    Plaut. Poen. 5, 5, 47:

    di te bene ament, Hegio,

    id. Capt. 1, 2, 29:

    ita me di bene ament,

    Ter. Eun. 4, 1, 1; cf. id. ib. 5, 2, 43; id. Hec. 2, 1, 9; id. Phorm. 1, 3, 13:

    Jane pater uti te... bonas preces bene precatus siem,

    Cato, R. R. 134: bene sponsis, beneque volueris in precatione augurali Messala augur ait significare spoponderis, volueris, Fest. p. 351 Mull. (p. 267 Lind.).—
    10.
    Elliptical expressions.
    (α).
    Bene, melius, optime, instead of bene, etc., dicit, dicis, or facit, facis, etc.:

    bene Pericles (i.e. dixit),

    Cic. Off. 1,40, 144:

    bene (Philippus) ministrum et praebitorem,

    id. ib. 2, 14, 53:

    existimabatur bene, Latine (i. e. loqui),

    id. Brut. 74, 259; so id. Sen. 14, 47:

    at bene Areus,

    Quint. 2, 15, 36; cf. id. 10, 1, 56:

    nam ante Aristippus, et ille melius (i.e. hoc dixerat),

    Cic. Fin. 1, 8, 26:

    sed haec tu melius vel optime omnium (i.e. facies),

    id. Fam. 4, 13, 7; id. Fin. 1, 18, 61; 1, 19, 63; id. Off. 3, 11, 49; id. Sen. 20, 73; id. Opt. Gen. 6, 18; Quint. 10, 3, 25; 10, 2, 24; 6, 1, 3; 9, 4, 23.—
    (β).
    In applauding answers' bene and optime, good! bravo! excellent! euge, euge! Perbene! Plaut. Rud. 1, 2, 75: huc respice. Da. Optume! id. ib. 3, 4, 3; cf. id. Merc. 1, 2, 114; 5, 4, 16.—
    (γ).
    In drinking health, with acc. or dat., health to you, your health! bene vos! bene nos! bene te! bene me! bene nostram etiam Stephanium! Plaut. Stich. 5, 4, 27; Tib 2, 1, 31: bene te, pater optime Caesar, etc.; Ov. F. 2, 637:

    bene mihi, bene vobis, bene amicae meae!

    Plaut. Pers. 5, 1, 21; Ov.A.A. 1, 601.—
    11.
    Pregn., in ellipt. predicate: quod (imperium) si (ei) sui bene crediderint cives... credere et Latinos debere, if his own citizens did well to intrust the supreme power to him, etc., Liv. 1, 50, 5:

    in Velia aedificent quibus melius quam P. Valerio creditur libertas,

    to whom it will be safer to intrust liberty, id. 2, 7, 11:

    melius peribimus quam sine alteris vestrum viduae aut orbae vivemus,

    it will be better for us to perish, id. 1, 13, 3:

    bene Arruntium morte usum,

    that it was right for Arruntius to die, Tac. A. 6, 48; Liv. 2, 30, 6; Quint. 9, 4, 92; Tac. A. 2, 44.—
    II.
    Adv. of intensity, = valde, very, with adjj. and advv.
    1.
    With adjj.: bene tempestate serena, Enn. ap. Cic. Div. 2, 39, 82 (Ann. v. 517 Vahl.): foedus feri bene firmum, id. ap. Porphyr. ad Hor. C. 3, 24, 50 (Ann. v. 33 ib.); cf.:

    bene firmus,

    Cic. Fam. 16, 8, 1; id. Phil. 6, 7, 18:

    bene robustus,

    id. Div. in Caecil. 15, 48:

    bene morigerus fuit puer,

    Plaut. Capt. 5, 2, 13:

    bene ergo ego hinc praedatus ibo,

    id. Ps. 4, 7, 39:

    bene lautum,

    id. Rud. 3, 3, 39:

    bene et naviter oportet esse impudentem,

    Cic. Fam. 5, 12, 3:

    id utrum Romano more locutus sit, bene nummatum te futurum, an, etc.,

    id. ib. 7, 16, 3:

    bene sanos,

    id. Fin. 1, 16, 52; 1, 21, 71; Hor. S. 1, 3, 61; 1, 9, 44:

    bene longinquos dolores,

    Cic. Fin. 2, 29, 94:

    sermonem bene longum,

    id. Or. 2, 88, 361:

    bene magna caterva,

    id. Mur. 33, 69:

    magna multitudo,

    Hirt. B. Hisp. 4:

    barbatus,

    Cic. Cat. 2, 10, 22:

    fidum pectus,

    Hor. C. 2, 12, 15:

    cautus,

    Ov. H. 1, 44:

    multa,

    Ov. Tr. 1, 7, 15: multi, Pollio ap. Cic. Fam 10, 33, 4:

    homo optime dives,

    Sen. Vit. Beat. 23, 2.—
    2.
    With advv.: bene saepe libenter, Enn. Ann. ap. Gell. 12, 4, 4 (Ann. v. 239 Vahl.); cf.:

    bene libenter victitas,

    Ter. Eun. 5, 8, 44:

    bene mane haec scripsi,

    Cic. Att. 4, 9, 2; 4, 10, 16:

    bene penitus,

    id. Verr. 2, 2, 70, § 169:

    bene longe,

    Hirt. B. Hisp. 25:

    bene gnaviter,

    Sen. Ot. Sap. 1 (28), 5.—With adverb. phrase:

    siad te bene ante lucem venisset,

    Cic. Or. 2, 64, 259.

    Lewis & Short latin dictionary > bene facta

См. также в других словарях:

  • GUNTIA — Ant. Lib. Not. Guntzberg, teste Rhenano, opp. Rhaetiae, in Suevia, apud Danub. ubi Guntiam fluv. vulgo Guntz, excipit. Sed hoc Guntzburg est, ab Augusta Vindelicorum 6. leucis, Gepingam versus totidem: Guntzberg vero longe abest a Danubio, ab Ort …   Hofmann J. Lexicon universale

  • croire — Croire, Credere. Croire et dire, Autumare. Aisé à croire, Credibilis. Croire facilement, Se credulum praebere. Croire pour tout certain, Pro haud dubio habere. Comme je croy par quelques conjectures que j ay, Vt coniicio. Chacun le croit ainsi… …   Thresor de la langue françoyse

  • NILUS — I. NILUS Aegypti Episcopus exustus, sub Diocletiano. Vide Lactantium, l. 5. c. 11: II. NILUS Africae fluv. celeberrimus, ut Asiae Ganges, et Indus, atque Europae Danubius. Plurima eius ab antiquis perhibentur, et celebrantur nomina. Nam et… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • VENTUS — a veniendo; insigne Meteorum est, e quo Auguria quoque Veteribus captari consuevisle, testatur Luctatius Grammaticus ad l. 3. Thebaid. v. 665. ubi Statius, Ventisque aut alite visâ Bellorum proferre diem. Solent enim, inquit, Augures Ventorum… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • PATARORUM urbs — seu Patara nunc Patera, seu Paterea Castaldo. urbs Lyciae, Baudrando in ora maris Pamphylii, prope ostia Xanthi fluv. Patari opus. Strab. l. 14. in qua Apollo 6. hibernis mensibus oracula reddebat. Patria S. Nicolai, Myrae Episcopi. Hinc… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • LINEA — I. LINEA in Circo, apud Ovid. idem, quod apud Tertullian. Limes est, vide supra. Nempe olim in Circo spectabant in tabulatis stantes, quae furcis sustinebantur, Dion. Halic. l. 3. Primus Tarquinius καθέδρας ὑποςτέγους in circuitu Circi ponendas… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • ANGLIA — Insulae Britanniae pars, olim Albion, seu Albania, ab albis rupibus (ur quidam volunt) quae primum illuc navigantibus apparent, sic dicta. Hodie in duaspartes dividitur, Angliam proprie sic dictam, veteribus Lhoegriam, et Cambriam, seu Walliam.… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • MAGI — I. MAGI Sacerdotes et Philosophi Persarum, quibus et sacra et publica res curae, magnô apud omnes pretiô, Altrorum praecipue contemplationi vacabant: Horum auctor Zoroaster, seu Altrotheates, doctrina verô nihil aliud fuisse videtur, quam… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • BABYLONIA — I. BABYLONIA Cognomen fuit Seleuciae, cuius (in confluente Euphratis fossâ perducti atque Tigris ???onditae a Seleuco, haud longe a Babylone) vicinitate exhausta est Babylon et in solitudinem redacta. De ea Plin. l. 6. c. 26. quae tamen Babylonia …   Hofmann J. Lexicon universale

  • BOJI — I. BOJI italin populi in Gallia Togata, inter Aemiliam viam, et Padum, apud oram incolentes, quorum regio magna ex parte Romandiola, vulgo Romagna nuncupatur. Meminit horum Silius l. 4. v. 158. Spissaeque ruunt conferta per arma Undae Boiorum.… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • BRIXIA — I. BRIXIA Susianae fluv. Plin. l. 6. c. 27. II. BRIXIA urbs Longobardiae Transpadanae: Catullus carm. 68. v. 31. Atqui non solum hunc se dicit cognitum habere Brixla, Chineae supposita speculae; Flavus quam molli percurrit flumine Mela, Brixia,… …   Hofmann J. Lexicon universale

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